«Bonjour chers (es) compatriotes,
À compter de ce vendredi 2 décembre, j’ai décidé d’observer une grève de la faim pour dénoncer mon enlèvement sur les allées Papa Guèye Fall, ma séquestration et ma torture psychologique dans les locaux de la Sûreté urbaine, mon emprisonnement injuste et arbitraire à la prison de Sébikotane».