Selon le président du Haut conseil des collectivités territoriales, ces derniers « ne devaient même pas attendre d’être mis dehors pour quitter le parti ». Il a aussi dit attendre de pied ferme, les récalcitrants qui oseraient continuer à utiliser les couleurs du parti ou mettre les pieds à la maison du parti.
«Quand on doit prendre des décisions importantes, la main ne doit pas trembler et il ne faut pas qu’on se trompe de personne. Je ne suis pas cette personne qu’on intimide, qu’on impressionne. Ce n’est pas mon genre. Je fais ce que j’ai à faire avec quelquefois des erreurs, des fautes parfois, mais j’ai foi en ce que je fais et je suis convaincu que je le fais dans l’intérêt du Parti socialiste. Ces camarades se sont comportés comme de vrais opposants à notre parti. D’abord, pour certains en ne participant pas aux réunions. Pour d’autres, ils ont passé leur temps à dénigrer le parti, à s’opposer à toutes les décisions qui ont été prises dans un cadre démocratique», a-t-il laissé entendre.
«Quand on doit prendre des décisions importantes, la main ne doit pas trembler et il ne faut pas qu’on se trompe de personne. Je ne suis pas cette personne qu’on intimide, qu’on impressionne. Ce n’est pas mon genre. Je fais ce que j’ai à faire avec quelquefois des erreurs, des fautes parfois, mais j’ai foi en ce que je fais et je suis convaincu que je le fais dans l’intérêt du Parti socialiste. Ces camarades se sont comportés comme de vrais opposants à notre parti. D’abord, pour certains en ne participant pas aux réunions. Pour d’autres, ils ont passé leur temps à dénigrer le parti, à s’opposer à toutes les décisions qui ont été prises dans un cadre démocratique», a-t-il laissé entendre.