Une déclaration qui avait fini provoqué un tollé d’indignation des acteurs politiques, des membres de la société civile et d’une partie des religieux. Face à cette levée de boucliers, le candidat classé troisième lors de la dernière élection présidentielle a justifié ses propos comme étant une réponse aux violences du président Macky Sall…
En conférence de presse hier mercredi 22 novembre 2022, Ousmane Sonko a regretté l’interprétation qui a été faite de sa déclaration de dimanche dernier lorsqu’il disait refuser de signer la charte de nonviolence du Cadre unitaire de l’Islam au Sénégal.
Toutefois, le leader de Pastef estime avoir atteint l’objectif qu’il s’était fixé à travers une telle sortie.
«Nous avions pris une posture sur la Charte de la non-violence proposée par certains acteurs. Je voudrais préciser d’abord que je ne parle pas au nom de la coalition Yewwi Askan Wi. Mais j’ai parlé en mon nom personnel et au nom de mon parti Pastef car je suis bien placé pour parler en son nom. J’ai parlé comme je devais parler et comme nous l’aurions souhaité. Car ça a suscité un débat national. Je voudrais préciser que mon propos ne s’adresse pas aux militants qui ont déjà leur appartenance encore moins à ceux qui pensent tout maîtriser. Mon propos s’adresse au peuple. Au peuple qui est averti et ce malgré toutes les tentatives de manipulation. Mon intention n’était pas d’insulter ni de faire mal. Le Sénégal est un pays où il est très difficile de dire la vérité car même si on dit la vérité les gens diront qu’on les a insultés. Ce qui doit s’arrêter», explique Ousmane Sonko.
L’ancien candidat à la Présidentielle de 2019 estime par ailleurs que son parti a toujours été victime de la violence du régime de Macky Sall depuis 2015, date d’obtention de son récépissé.
En conférence de presse hier mercredi 22 novembre 2022, Ousmane Sonko a regretté l’interprétation qui a été faite de sa déclaration de dimanche dernier lorsqu’il disait refuser de signer la charte de nonviolence du Cadre unitaire de l’Islam au Sénégal.
Toutefois, le leader de Pastef estime avoir atteint l’objectif qu’il s’était fixé à travers une telle sortie.
«Nous avions pris une posture sur la Charte de la non-violence proposée par certains acteurs. Je voudrais préciser d’abord que je ne parle pas au nom de la coalition Yewwi Askan Wi. Mais j’ai parlé en mon nom personnel et au nom de mon parti Pastef car je suis bien placé pour parler en son nom. J’ai parlé comme je devais parler et comme nous l’aurions souhaité. Car ça a suscité un débat national. Je voudrais préciser que mon propos ne s’adresse pas aux militants qui ont déjà leur appartenance encore moins à ceux qui pensent tout maîtriser. Mon propos s’adresse au peuple. Au peuple qui est averti et ce malgré toutes les tentatives de manipulation. Mon intention n’était pas d’insulter ni de faire mal. Le Sénégal est un pays où il est très difficile de dire la vérité car même si on dit la vérité les gens diront qu’on les a insultés. Ce qui doit s’arrêter», explique Ousmane Sonko.
L’ancien candidat à la Présidentielle de 2019 estime par ailleurs que son parti a toujours été victime de la violence du régime de Macky Sall depuis 2015, date d’obtention de son récépissé.