De la page 239 à la page 241, Sonko affirme que «les principaux auteurs et promoteurs des forfaitures et agressions contre les intérêts du peuple, ce sont les élites administratives et politiques du pays. Toujours selon l’auteur, l’administration est devenue plus que jamais une passoire politique, gangrenée par le népotisme, le clientélisme la corruption de ses élites dirigeantes et le conservatisme.»
(adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); Il ajoute : «En réalité, toutes les problématiques abordées et traitées dans cet ouvrage qu’elles soient d’ordre juridique, pratique ou institutionnel ne peuvent trouver une voie de règlement qu’auprès du peuple. Sous nos cieux, les politiques publiques se font toujours sans et souvent contre le peuple.
La représentation nationale n’y étant qu’une fiction, la séparation et surtout l’équilibre des pouvoirs une accommodation politicienne autour des préoccupations de partage du gâteau étatique, tout un boulevard s’ouvre pour la commission et la perpétuation d’actes de gouvernance sombre et vicieuse.»
Il s’est désolé ensuite du mutisme de ce qui fait office de législature actuelle à l’Assemblée nationale.
Pourtant, affirme-t-il, «la Constitution du Sénégal lui reconnait de très larges pouvoirs de contrôle avec des moyens d’actions tels que les questions orales, les questions écrites et la convocation en commissions permanentes des Premiers ministres, ministres ou directeurs généraux ; ou la mise en place de commission d’enquête parlementaire. Mais il est clair qu’il ne faut pas compter sur une majorité robotique pour mettre en pratique ces prérogatives».
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La représentation nationale n’y étant qu’une fiction, la séparation et surtout l’équilibre des pouvoirs une accommodation politicienne autour des préoccupations de partage du gâteau étatique, tout un boulevard s’ouvre pour la commission et la perpétuation d’actes de gouvernance sombre et vicieuse.»
Il s’est désolé ensuite du mutisme de ce qui fait office de législature actuelle à l’Assemblée nationale.
Pourtant, affirme-t-il, «la Constitution du Sénégal lui reconnait de très larges pouvoirs de contrôle avec des moyens d’actions tels que les questions orales, les questions écrites et la convocation en commissions permanentes des Premiers ministres, ministres ou directeurs généraux ; ou la mise en place de commission d’enquête parlementaire. Mais il est clair qu’il ne faut pas compter sur une majorité robotique pour mettre en pratique ces prérogatives».