Le leader de Pastef a annoncé sa candidature à la présidentielle de 2024. Ousmane Sonko qui faisait une déclaration de presse ce jeudi au siège de son parti en a aussi profité pour démontrer la pertinence de cette candidature.
« Je peux confirmer aujourd’hui que je serai candidat à l’élection présidentielle de 2024. Ce que je dis ne surprend personne au Sénégal, c’est vrai. J’annonce également que si d’autres membres de Pastef veulent se présenter à la présidentielle, ils en ont le droit car il y a des chartes. S’il y en a, nous ferons donc des primaires pour choisir qui va représenter notre parti. En tout cas, je confirme que je suis candidat en 2024 », a-t-il déclaré.
« Je n’ai pas besoin de démontrer la pertinence de cette candidature. C’est le contraire qui aurait plus tôt surpris. Des candidats qui avaient fait face à Macky SALL en 2019, je suis le seul à rester dans l’opposition », rajoute-t-il.
Pour le maire de Ziguinchor, les élections législatives ont prouvé que Benno Bokk Yaakaar est minoritaire et qu’il lui reste moins de 18 mois à passer à la tête de l’Etat. C’est pourquoi, dit-il, les tenant du Pouvoir sont en train de monter des dossiers pour l’empêcher de se présenter à cette présidentielle à venir.
« Je peux confirmer aujourd’hui que je serai candidat à l’élection présidentielle de 2024. Ce que je dis ne surprend personne au Sénégal, c’est vrai. J’annonce également que si d’autres membres de Pastef veulent se présenter à la présidentielle, ils en ont le droit car il y a des chartes. S’il y en a, nous ferons donc des primaires pour choisir qui va représenter notre parti. En tout cas, je confirme que je suis candidat en 2024 », a-t-il déclaré.
« Je n’ai pas besoin de démontrer la pertinence de cette candidature. C’est le contraire qui aurait plus tôt surpris. Des candidats qui avaient fait face à Macky SALL en 2019, je suis le seul à rester dans l’opposition », rajoute-t-il.
Pour le maire de Ziguinchor, les élections législatives ont prouvé que Benno Bokk Yaakaar est minoritaire et qu’il lui reste moins de 18 mois à passer à la tête de l’Etat. C’est pourquoi, dit-il, les tenant du Pouvoir sont en train de monter des dossiers pour l’empêcher de se présenter à cette présidentielle à venir.