« Le 4 mars dernier à Genève, il y a eu une résolution qui mettait sur pied une commission d’enquête indépendante. Le Sénégal estime que cela équivaudrait à présager des conclusions de cette commission que de vouloir statuer sur des sanctions. Le plus sage aurait été d’attendre que cette commission puisse aller sur le terrain, mener ses enquêtes, livrer ses conclusions. Et sur cette base, on pourra calibrer les types de sanctions en fonction de la nature et de l’ampleur des violations », souligne-t-il.
Selon l’ambassadeur Diouf, au-delà de la cohérence, c’est aussi une position de souveraineté exprimée par le Sénégal qui en assume toutes les conséquences.
Selon l’ambassadeur Diouf, au-delà de la cohérence, c’est aussi une position de souveraineté exprimée par le Sénégal qui en assume toutes les conséquences.