Sur sa page Facebook, le journaliste Jean Meissa Diop a montré toute son indignation contre Pape Babacar Ngom, le Pdg de Sedima, accusé par les paysans du village de Ndingueleer d’avoir fait mains basses sur leurs terres.
« Si vous ne croyez pas ou savez pas que le Sénégal est le pays où le puissant écrase le faible, le riche dépouille le pauvre, allez à Ndinguéléér dans la contrée de Ndiaganiao.
Là-bas, un agrobusinessman milliardaire, Babacar Ngom Sedima, s'est fait affecter les terres de pauvres villageois qui ne pourront plus gratter la terre pour manger à la sueur de leur front. C'est pathétique, c'est injuste, pour dire le moins. Voilà ce que fait une fortune partie d'"un poulailler d'arrière-cour, il y a quarante ans".
Tout pauvres qu'ils soient, les expropriés ont eu l'élégance de refuser le million de francs que Ngom Sedima envoya, par son fils, pour dorer la pilule pour mieux la faire passer dans la gorge de ces pitoyables villageois.
Et le coup va passer, et Babacar Ngom va être plus riche et les Ndinguélèrois plus pauvres, misérables. Lii ñaaw na ! C'est révoltant ! C'est scandaleux !
Certains qui tentèrent d'obtenir des explications ont été conduits à la gendarmerie de Mbour et enfermés pendant trois jours.
Que Babacar Ngom n'oublie jamais cette sagesse wolof qui enseigne que "boo ragalul sa moroom, ragalal sa Boroom". Que celui et/ou ceux qui lui ont conféré ce titre de propriété sachent qu'ils ont commis une effarante injustice que Dieu jugera. Mais, qu'ils n'oublient pas que le combat de ces pauvres paysans va être livré avec héroïsme. »
« Si vous ne croyez pas ou savez pas que le Sénégal est le pays où le puissant écrase le faible, le riche dépouille le pauvre, allez à Ndinguéléér dans la contrée de Ndiaganiao.
Là-bas, un agrobusinessman milliardaire, Babacar Ngom Sedima, s'est fait affecter les terres de pauvres villageois qui ne pourront plus gratter la terre pour manger à la sueur de leur front. C'est pathétique, c'est injuste, pour dire le moins. Voilà ce que fait une fortune partie d'"un poulailler d'arrière-cour, il y a quarante ans".
Tout pauvres qu'ils soient, les expropriés ont eu l'élégance de refuser le million de francs que Ngom Sedima envoya, par son fils, pour dorer la pilule pour mieux la faire passer dans la gorge de ces pitoyables villageois.
Et le coup va passer, et Babacar Ngom va être plus riche et les Ndinguélèrois plus pauvres, misérables. Lii ñaaw na ! C'est révoltant ! C'est scandaleux !
Certains qui tentèrent d'obtenir des explications ont été conduits à la gendarmerie de Mbour et enfermés pendant trois jours.
Que Babacar Ngom n'oublie jamais cette sagesse wolof qui enseigne que "boo ragalul sa moroom, ragalal sa Boroom". Que celui et/ou ceux qui lui ont conféré ce titre de propriété sachent qu'ils ont commis une effarante injustice que Dieu jugera. Mais, qu'ils n'oublient pas que le combat de ces pauvres paysans va être livré avec héroïsme. »