(adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); "Notre Constitution, en proclamant ‘le respect et la garantie intangibles des libertés philosophiques et religieuses', prohibe la stigmatisation de choix confessionnel des citoyens sénégalais. Nul n'a le droit de condamner un compatriote pour ce qu'il est ou ce qu'il n'est pas, religieusement parlant. Le débat doit se situer sur les politiques économiques et sociales mises en œuvre ou proposées. La démocratie c'est d'abord et avant tout : la tolérance", rappelle l’ancien président du groupe parlementaire de Benno bokk Yakaar, Moustapha Diakhaté dans une tribune publiée ce mardi (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); A ses yeux, dans l'avenir, la classe politique sénégalaise devra prendre son courage à deux mains, notamment les partis de gouvernement, pour épargner les Sénégalais de ces corvées mais aussi pour économiser les deniers publics.