Pour le leader du mouvement Anc, proche du maire de Dakar Khalifa Sall, le défilé d’opposants devant la justice est une mauvaise publicité pour la démocratie sénégalaise.
«Si on ne fait pas attention, ça va continuer et l’image du Sénégal va se détériorer. Chercher coûte que coûte à faire marquer le pas à tout le monde, à anéantir tout le monde, à humilier tout le monde, ça ne passera pas parce que Dieu ne l’acceptera pas. Notre démocratie doit être vivante", a dénoncé M. Sy.
Selon Moussa Sy, la classe politique doit, chaque jour que Dieu fait, travailler à ce que la démocratie, au Sénégal, se consolide.
"C’est ça le rôle du Président Macky Sall. On ne doit pas faire moins que la Gambie avec l’avènement d’Adama Barrow. On ne peut pas aller aujourd’hui en Gambie, faire des leçons, rétablir l’ordre constitutionnel et ensuite le verdict des urnes, et qu’au même moment au Sénégal, on nous dise qu’on ne veut plus voir d’opposants, qu’on n’accepte pas la contradiction. Pour un président qui est né après les indépendances et qui est bien élu, ça pose problème", déplore Moussa Sy.
«Si on ne fait pas attention, ça va continuer et l’image du Sénégal va se détériorer. Chercher coûte que coûte à faire marquer le pas à tout le monde, à anéantir tout le monde, à humilier tout le monde, ça ne passera pas parce que Dieu ne l’acceptera pas. Notre démocratie doit être vivante", a dénoncé M. Sy.
Selon Moussa Sy, la classe politique doit, chaque jour que Dieu fait, travailler à ce que la démocratie, au Sénégal, se consolide.
"C’est ça le rôle du Président Macky Sall. On ne doit pas faire moins que la Gambie avec l’avènement d’Adama Barrow. On ne peut pas aller aujourd’hui en Gambie, faire des leçons, rétablir l’ordre constitutionnel et ensuite le verdict des urnes, et qu’au même moment au Sénégal, on nous dise qu’on ne veut plus voir d’opposants, qu’on n’accepte pas la contradiction. Pour un président qui est né après les indépendances et qui est bien élu, ça pose problème", déplore Moussa Sy.