«Notre décision»
«En tant que parti politique devant participer aux prochaines compétitions électorales, nous avons pris sur nous la décision de participer aux échanges sur le processus électoral annoncés par le ministre de l’Intérieur. Nous allons prendre contact avec le ministre de l’Intérieur et écouter les propositions qu’il fera à la classe politique. En fonction de ces propositions, nous donnerons notre point de vue. Au-delà de l’ordre du jour de la convocation du ministre de l’Intérieur, un parti comme le nôtre est très intéressé par les questions de financement des partis politiques, la révision du mode de scrutin des élections législatives et municipales. Il s’agit là de deux questions majeures qui rentrent dans le cadre du processus électoral et qui intéressent notre parti politique. Ils (les membres du pouvoir) ont leurs préoccupations, nous avons aussi les nôtres. Nous poserons nos préoccupations sur la table du ministre de l’Intérieur. Nous pensons qu’il ne faut pas éviter la confrontation des idées. Cette position nous semble être beaucoup plus courageuse que celle de dire : ‘’Nous allons boycotter les échanges sur le processus électoral.’’ Nous avons des exigences à poser. Car, nous avons vu comment les élections législatives ont été mal organisées.»
(adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); «Ce que nous attendons du ministre de l’Intérieur»
«Nous avons vu tous les manquements et toutes les défaillances notés. S’il y a un cadre qui peut permettre de discuter sur cela pour éviter de pareilles situations, bien entendu nous y serons et nous serons vigilants. Un parti politique comme le nôtre qui ambitionne demain de diriger le Sénégal, ne peut pas s’absenter aux discussions sur le processus électoral. Il y a des points d’achoppement entre l’opposition et le pouvoir. Tout dépendra de la volonté de décrispation du pouvoir en place. En ce qui nous concerne, je crois que tout le monde connaît, pour l’essentiel, les revendications de l’opposition. C’est clair que nous allons les rabâcher lors de cette rencontre annoncée. Nous allons revenir sur tout. Nous ne connaissons pas encore le style Aly Ngouille Ndiaye en tant que ministre de l’Intérieur, mais nous attendons de voir. Ce que nous attendons est que l’histoire des cartes biométriques soit vidée. Aujourd’hui, des gens sont inscrits à Darou Mouhty et leurs cartes sont sorties à Nioro. Certains ont de nouvelles cartes d’identité et ne peuvent pas voter. D’autres Sénégalais attendent encore leurs nouvelles cartes d’identité. Cette question, il faut impérativement la régler. Ensuite, il faut auditer le fichier électoral. Il y a des soupçons de la part de l’opposition.»
Avec L'OBS (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});
«En tant que parti politique devant participer aux prochaines compétitions électorales, nous avons pris sur nous la décision de participer aux échanges sur le processus électoral annoncés par le ministre de l’Intérieur. Nous allons prendre contact avec le ministre de l’Intérieur et écouter les propositions qu’il fera à la classe politique. En fonction de ces propositions, nous donnerons notre point de vue. Au-delà de l’ordre du jour de la convocation du ministre de l’Intérieur, un parti comme le nôtre est très intéressé par les questions de financement des partis politiques, la révision du mode de scrutin des élections législatives et municipales. Il s’agit là de deux questions majeures qui rentrent dans le cadre du processus électoral et qui intéressent notre parti politique. Ils (les membres du pouvoir) ont leurs préoccupations, nous avons aussi les nôtres. Nous poserons nos préoccupations sur la table du ministre de l’Intérieur. Nous pensons qu’il ne faut pas éviter la confrontation des idées. Cette position nous semble être beaucoup plus courageuse que celle de dire : ‘’Nous allons boycotter les échanges sur le processus électoral.’’ Nous avons des exigences à poser. Car, nous avons vu comment les élections législatives ont été mal organisées.»
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«Nous avons vu tous les manquements et toutes les défaillances notés. S’il y a un cadre qui peut permettre de discuter sur cela pour éviter de pareilles situations, bien entendu nous y serons et nous serons vigilants. Un parti politique comme le nôtre qui ambitionne demain de diriger le Sénégal, ne peut pas s’absenter aux discussions sur le processus électoral. Il y a des points d’achoppement entre l’opposition et le pouvoir. Tout dépendra de la volonté de décrispation du pouvoir en place. En ce qui nous concerne, je crois que tout le monde connaît, pour l’essentiel, les revendications de l’opposition. C’est clair que nous allons les rabâcher lors de cette rencontre annoncée. Nous allons revenir sur tout. Nous ne connaissons pas encore le style Aly Ngouille Ndiaye en tant que ministre de l’Intérieur, mais nous attendons de voir. Ce que nous attendons est que l’histoire des cartes biométriques soit vidée. Aujourd’hui, des gens sont inscrits à Darou Mouhty et leurs cartes sont sorties à Nioro. Certains ont de nouvelles cartes d’identité et ne peuvent pas voter. D’autres Sénégalais attendent encore leurs nouvelles cartes d’identité. Cette question, il faut impérativement la régler. Ensuite, il faut auditer le fichier électoral. Il y a des soupçons de la part de l’opposition.»
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