À quelques mois des élections locales du 1 décembre 2019, le temps est à l'évaluation de l'Acte 3 de la décentralisation. Pour une application plus efficiente de cette décentralisation, Moustapha Diakhaté recommande une réduction du nombre de communes.
«Très sincèrement je ne crois pas que le Sénégal ait besoin de 557 communes, a lancé l'ancien président du groupe Benno à l'Assemblée nationale, invité d'Objection de Sud Fm ce dimanche. De 557 on peut arriver à 133. Le nombre sera plus réduit et ça permettra à l'État de mieux intervenir.»
À en croire Diakhaté, la «parcellisation des communes», notamment à Dakar, aboutit à une réduction des recettes municipales. C'est ce qui fait que, confie-t-il, «chaque maire essaie de trouver un moyen de pouvoir financer ses activités jusqu'à même brader l'espace public».
Par conséquent, l'ancien directeur de cabinet du président de la République propose «qu'on érige les arrondissements en communes et mieux même qu'on les érige en circonscription électorale».
Ce qui fait que, ajoute-t-il, «on va élire au minimum 133 députés dans les différentes communes et le reste, peut-être 30, au suffrage universel pour avoir une variété de représentation au niveau de l'Assemblée nationale».
«Très sincèrement je ne crois pas que le Sénégal ait besoin de 557 communes, a lancé l'ancien président du groupe Benno à l'Assemblée nationale, invité d'Objection de Sud Fm ce dimanche. De 557 on peut arriver à 133. Le nombre sera plus réduit et ça permettra à l'État de mieux intervenir.»
À en croire Diakhaté, la «parcellisation des communes», notamment à Dakar, aboutit à une réduction des recettes municipales. C'est ce qui fait que, confie-t-il, «chaque maire essaie de trouver un moyen de pouvoir financer ses activités jusqu'à même brader l'espace public».
Par conséquent, l'ancien directeur de cabinet du président de la République propose «qu'on érige les arrondissements en communes et mieux même qu'on les érige en circonscription électorale».
Ce qui fait que, ajoute-t-il, «on va élire au minimum 133 députés dans les différentes communes et le reste, peut-être 30, au suffrage universel pour avoir une variété de représentation au niveau de l'Assemblée nationale».