Agitant des drapeaux mexicains, vêtus pour certains de blanc, les manifestants ont commencé à envahir la principale avenue de la capitale à l’appel d’entreprises, d’organisations civiles et d’universités.
« Le Mexique, on le respecte, M. Trump » pouvait-on lire sur une immense pancarte en tête de cortège.
Ce mouvement de protection lancé sur les réseaux sociaux à travers le mot-clé #VibraMexico avait lieu également à Guadalajara, la deuxième plus grande ville du pays, et une vingtaine d’autre localités se préparaient à faire de même.
Cet appel à manifester survient au moment où les Etats-Unis et le Mexique traversent leur plus grave crise diplomatique depuis des décennies. Montée en puissance pendant la campagne du candidat républicain, qui avait traité certains Mexicains de « criminels » ou de « violeurs » et accusé d’autres de voler les emplois des Américains, cette crise a éclaté au grand jour peu après la prise de fonction de M. Trump, le 20 janvier.
« Le Mexique, on le respecte, M. Trump » pouvait-on lire sur une immense pancarte en tête de cortège.
Ce mouvement de protection lancé sur les réseaux sociaux à travers le mot-clé #VibraMexico avait lieu également à Guadalajara, la deuxième plus grande ville du pays, et une vingtaine d’autre localités se préparaient à faire de même.
Cet appel à manifester survient au moment où les Etats-Unis et le Mexique traversent leur plus grave crise diplomatique depuis des décennies. Montée en puissance pendant la campagne du candidat républicain, qui avait traité certains Mexicains de « criminels » ou de « violeurs » et accusé d’autres de voler les emplois des Américains, cette crise a éclaté au grand jour peu après la prise de fonction de M. Trump, le 20 janvier.