Le Sénégal risquait gros. L’idée pour les Djihadistes était d’attendre que Dakar s’endort pour se glisser dans le manteau de la nuit et perpétrer un attentat d’une grande ampleur dans un hôtel de la place. Toutefois, leur perfide machination n’a pas prospéré. Le renseignement sénégalais qui a des oreilles fines et des yeux de lynx a vu venir…le mal. Cette prouesse des services de renseignement sénégalais a été réussie en parfaite intelligence avec le renseignement américain. Ces hommes de l’ombre sont parvenus à faire «capoter» un projet terroriste estampillé «imminent». Les recoupements effectués sur cette affaire font ressortir l’exemplarité des relations de coopération policière internationale… En haut lieu de la hiérarchie policière, il s’avère que les services de renseignement américain qui ont aidé à déjouer ce projet terroriste, ont avisé «d’une menace crédible liée à une activité terroriste potentielle à Dakar». C’est d’ailleurs dans cet ordre que la Chancellerie américaine dans la capitale sénégalaise (voir ailleurs), a publié hier, un communiqué où les mots ont été pesés et soupesés pour prévenir ses ressortissants vivant au Sénégal, à prendre des mesures conservatoires de sécurité.
Le renseignement sénégalais n’est pas en reste, mais l’affaire a été menée avec discrétion et minutie, pour éviter la psychose. C’est un secret de polichinelle que l’information en question était déjà en cours de traitement et des réunions de toute la hiérarchie policière et de la gendarmerie étaient d’ailleurs tenues dans ce sens. Les dernières opérations menées par les éléments des forces de sécurité participaient à anticiper sur les premières informations tombées dans l’oreille des services de renseignements sénégalais. Des responsables des forces de sécurité câblés par L’Observateur ne se font pas de sang d’encre pour évoquer un «projet terroriste dont les présumés auteurs, au nombre de trois, sont issus d’un pays voisin de la Sous-région en proie à un conflit armé porté par des djihadistes. Ce commando avait pour cible, un réceptif hôtelier (dont nous taisons délibérément le nom), situé à Dakar. Les trois djihadistes, L. D, H. Ag H et Ag. M. H, qui ne seraient pas encore sur le territoire national, envisageaient d’opérer en duo et le troisième acolyte avait pour tâche de les convoyer à bon port sur le sol sénégalais.»
Seulement, dans leurs calculs maléfiques, ils n’avaient pas pris en compte la diligence du renseignement sénégalais très prompt à jeter du sable dans le couscous des gangsters de la foi. Les autorités qui prennent au sérieux ce renseignement, ont pris des mesures visant à redoubler de vigilance et à renforcer la sécurité aux frontières. Les autorités chargées de la sécurité des biens et des personnes demandent également aux populations de collaborer avec les forces de sécurité pour annihiler toute menace djihadiste.
En tout cas, partout à travers le monde, les pays se mobilisent contre le terrorisme sous toutes ses formes. Cette menace devenue une réalité dans la Sous-région et donc aux portes du Sénégal, ce qui rassure, c’est que les autorités compétentes n’entendent pas se ronger les pouces ou se cacher derrière leur petit doigt pour l’endiguer. Déjà, le Sénégal avait pris les devants, après l’arrestation de plusieurs djihadistes ou terroristes présumés, retenus dans les liens de la détention. Faits relayés par la presse au grand bonheur des populations rassurées par les stratégies de veille des forces de sécurité qui ont conduit à ces coups de filets.
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Le renseignement sénégalais n’est pas en reste, mais l’affaire a été menée avec discrétion et minutie, pour éviter la psychose. C’est un secret de polichinelle que l’information en question était déjà en cours de traitement et des réunions de toute la hiérarchie policière et de la gendarmerie étaient d’ailleurs tenues dans ce sens. Les dernières opérations menées par les éléments des forces de sécurité participaient à anticiper sur les premières informations tombées dans l’oreille des services de renseignements sénégalais. Des responsables des forces de sécurité câblés par L’Observateur ne se font pas de sang d’encre pour évoquer un «projet terroriste dont les présumés auteurs, au nombre de trois, sont issus d’un pays voisin de la Sous-région en proie à un conflit armé porté par des djihadistes. Ce commando avait pour cible, un réceptif hôtelier (dont nous taisons délibérément le nom), situé à Dakar. Les trois djihadistes, L. D, H. Ag H et Ag. M. H, qui ne seraient pas encore sur le territoire national, envisageaient d’opérer en duo et le troisième acolyte avait pour tâche de les convoyer à bon port sur le sol sénégalais.»
Seulement, dans leurs calculs maléfiques, ils n’avaient pas pris en compte la diligence du renseignement sénégalais très prompt à jeter du sable dans le couscous des gangsters de la foi. Les autorités qui prennent au sérieux ce renseignement, ont pris des mesures visant à redoubler de vigilance et à renforcer la sécurité aux frontières. Les autorités chargées de la sécurité des biens et des personnes demandent également aux populations de collaborer avec les forces de sécurité pour annihiler toute menace djihadiste.
En tout cas, partout à travers le monde, les pays se mobilisent contre le terrorisme sous toutes ses formes. Cette menace devenue une réalité dans la Sous-région et donc aux portes du Sénégal, ce qui rassure, c’est que les autorités compétentes n’entendent pas se ronger les pouces ou se cacher derrière leur petit doigt pour l’endiguer. Déjà, le Sénégal avait pris les devants, après l’arrestation de plusieurs djihadistes ou terroristes présumés, retenus dans les liens de la détention. Faits relayés par la presse au grand bonheur des populations rassurées par les stratégies de veille des forces de sécurité qui ont conduit à ces coups de filets.
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