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Maurice Soudieck Dione sur la nomination de Sonko : « Cette hyper-présidentialisation va être rationalisée de fait »

POLITIQUE
Mercredi 3 Avril 2024

La nomination d’Ousmane Sonko en tant que Premier ministre dans le premier gouvernement du président Bassirou Diomaye Faye semble être une tentative de rééquilibrer les pouvoirs présidentiels, selon Maurice Soudieck Dione.


Cette démarche vise à rationaliser l’hyper-présidentialisation en limitant le pouvoir présidentiel. Selon l’enseignant-chercheur en Science politique à l’Université Gaston Berger de Saint-Louis, ce choix n’est pas surprenant. «J’avoue que ce n’est pas une surprise. Je pense qu’il y avait deux scénarios : le premier, c’était que Bassirou Diomaye Faye, le président de la République, fasse de Ousmane Sonko son Premier ministre, pour gérer les affaires politiques ou alors Ousmane Sonko allait gérer le parti, pour reconstruire le PASTEF et attendre le mois de septembre pour pouvoir organiser les élections législatives parce la législature doit durer au moins deux ans avant d’être dissoute (l’Assemblée nationale).
 

Et bien, c’était aussi un scénario pour que Sonko puisse être président de l’Assemblé nationale. Ça, c’était une option. Mais on constate que l’option qui a été retenue par le président Bassirou Diomaye Faye, c’est de faire de Ousmane Sonko son Premier ministre. Donc, ici, on va certainement avoir une lecture parlementaire de la Constitution. Donc ça va de fait tempérer les pouvoirs du président de la République, cette hyper-présidentialisation va être rationalisée de fait,  avec un Premier ministre qui, quoi qu’on puisse dire, a été la cheville ouvrière, l’élément catalyseur de cette victoire éclatante de la Coalition ‘’Diomaye Président’’», a-t-il relevé dans des propos rapportés par SudQuotidien.

Quant à la question de savoir si le duo Ousmane Sonko et Bassirou Diomaye Faye est porteur d’espoir ou source de dualité au sommet de l’État, l’universitaire souligne les risques de dualité et de conflit. Cette situation est due à l’hyper-présidentialisation et à l’influence politique importante du Premier ministre.


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