« Le premier objectif est atteint. Mais le plus important, c’est la finale du 6 février. Il faut gagner ce match-là, comme on l’a fait avec les précédents. Nous nous sommes préparés pour gagner la finale. Cela fait deux fois de suite qu’on gagne sur le même score de 3-1, lors du second tour. C’est parce qu’on monte crescendo. C’est ça une compétition. Une compétition, ce n’est pas démarrer à 200%. C’est mieux de démarrer à 50% et terminer à 200%. C’est ce qu’on est en train de faire. En finale, il ne faut pas choisir d’adversaire. Nous, on est prêts pour toute équipe qui ira en finale. Un adversaire qu’on respectera, mais on se battra pour prendre le dessus.», a déclaré le patron du sport sénégalais.
Avant de poursuivre : «Cette qualification en finale, pour la deuxième édition consécutive, c’est le fruit du travail collectif. Parce que la fédération, l’encadrement technique et les joueurs ont fait du bon travail. L’Etat est derrière pour accompagner en mettant les moyens et mobiliser les conditions de performances. Une finale, c’est une fête. Mais vu notre objectif, on ne va pas trop fêter. Nous allons nous concentrer pour trouver la solution à cette équation du 6 février ».
Avant de poursuivre : «Cette qualification en finale, pour la deuxième édition consécutive, c’est le fruit du travail collectif. Parce que la fédération, l’encadrement technique et les joueurs ont fait du bon travail. L’Etat est derrière pour accompagner en mettant les moyens et mobiliser les conditions de performances. Une finale, c’est une fête. Mais vu notre objectif, on ne va pas trop fêter. Nous allons nous concentrer pour trouver la solution à cette équation du 6 février ».