Maria sans bras ni bras
La petite Maria est née aux Philippines, sans bras ni jambes. Sa vie a été transformée le jour où un couple d’Américains a décidé de l’adopter.
La rencontre entre la petite Maria et le couple Stewart a bouleversé leurs vies pour toujours. Il y a trois ans, la fillette naît aux Philippines, sans bras ni jambes. Six mois plus tard, elle est placée dans un orphelinat spécialisé pour les enfants aux besoins spéciaux. A l’autre bout du monde, dans l’Utah, aux Etats-Unis, la famille Stewart, elle, vit une vie heureuse avec ses trois enfants, des jumelles et un petit garçon adopté aux Philippines. Mais Adrianne et Jason ressentent en 2014 le besoin d'agrandir encore la fratrie. Ils contactent l’agence d’adoption avec lequel ils avaient déjà eu des liens. Celle-ci leur propose alors de jeter un œil sur une liste d’enfants dont l’adoption est rendue difficile en raison de problèmes de santé ou encore de leur âge.
D'incroyables progrès
L’attente avant de pouvoir ramener Maria chez les Stewart dure des mois. Puis le temps de la rejoindre aux Philippines arrive enfin. «Elle avait deux ans et elle n’arrivait même pas à tenir sa tête», se souvient la mère qui ne savait alors pas si la fillette allait un jour pouvoir utiliser ses muscles. «Cela semble énorme à réaliser au début, mais tout se passe bien en réalité. Grâce à des séances d’apprentissage de la parole et de la mobilité, elle a même pu entrer à la crèche où elle se rend plusieurs fois par semaine. Et lorsqu’elle n’est pas «à l’école», elle prend plaisir à jouer avec ses jeux, à écouter de la musique des années 80, à prendre des photos ou à jouer sur la tablette numérique grâce à un stylet qu’elle tient dans sa bouche.
La rencontre entre la petite Maria et le couple Stewart a bouleversé leurs vies pour toujours. Il y a trois ans, la fillette naît aux Philippines, sans bras ni jambes. Six mois plus tard, elle est placée dans un orphelinat spécialisé pour les enfants aux besoins spéciaux. A l’autre bout du monde, dans l’Utah, aux Etats-Unis, la famille Stewart, elle, vit une vie heureuse avec ses trois enfants, des jumelles et un petit garçon adopté aux Philippines. Mais Adrianne et Jason ressentent en 2014 le besoin d'agrandir encore la fratrie. Ils contactent l’agence d’adoption avec lequel ils avaient déjà eu des liens. Celle-ci leur propose alors de jeter un œil sur une liste d’enfants dont l’adoption est rendue difficile en raison de problèmes de santé ou encore de leur âge.
Source : Paris-Match
A l’époque, ils n’avaient jamais pensé accueillir un enfant avec des besoins spéciaux, mais en découvrant la photo de Maria, ils tombent immédiatement sous son charme. «Lorsque nous avons découvert notre fille, nous ne pensions pas être qualifiés et préparés à élever un enfant comme elle, née sans bras ni jambes, mais nous savions que pouvions l’aimer et que l’aimer et ce qui comptait le plus», écrit Adrianne Stewart dans un message publié sur Facebook afin de fêter le premier anniversaire de son adoption. D'incroyables progrès
L’attente avant de pouvoir ramener Maria chez les Stewart dure des mois. Puis le temps de la rejoindre aux Philippines arrive enfin. «Elle avait deux ans et elle n’arrivait même pas à tenir sa tête», se souvient la mère qui ne savait alors pas si la fillette allait un jour pouvoir utiliser ses muscles. «Cela semble énorme à réaliser au début, mais tout se passe bien en réalité. Grâce à des séances d’apprentissage de la parole et de la mobilité, elle a même pu entrer à la crèche où elle se rend plusieurs fois par semaine. Et lorsqu’elle n’est pas «à l’école», elle prend plaisir à jouer avec ses jeux, à écouter de la musique des années 80, à prendre des photos ou à jouer sur la tablette numérique grâce à un stylet qu’elle tient dans sa bouche.