« Nous avons une cour des comptes de référence, mais il y a quand même des graines qui ternissent un peu l’image de cette institution, parce que ce rapport ne s’explique pas. Ce n’est pas juste. Pourquoi ? Est-ce que ces auteurs n’ont pas d’autres préoccupations ou des ambitions politiques. On peut toujours se poser la question.. Certaines personnes ont des casquettes politiques et se cachent derrière des institutions pour atteindre leur but. C’est peine perdue ».
Avant de poursuivre : «Au-delà du DAGE, c’est moi-même qui suis visé en réalité. J’ai suivi le processus du début à la fin parce que les questions de transparence sont importantes pour moi. Qui touche le DAGE me touche. Par devoir moral, je ne peux accepter qu’on accuse quelqu’un qui n’a rien fait. En plus un collaborateur qui a travaillé d’arrache-pied pour arriver à ce résultat.»