Par Mame Coumba Diop
Tu ne m’en voudras pas de réagir à ta contribution car je continue de croire malgré tout que tu acceptes le débat d’idées. Pas des invectives comme celles qui jalonnent ton interview avec des jugements de valeurs sur des hommes politiques dont le seul tort est de porter des ambitions politiques différentes de la majorité actuelle.
L’intolérance qui transparait dans tes propos fait froid dans le dos. Tu vas même jusqu’à dénier à Khalifa Sall sa qualité d’homme politique le qualifiant d’homme de pouvoir. Contrairement à beaucoup d’entre vous, il ne se complait pas dans le pouvoir, dans un pouvoir où on s’installe à force de reniements et de compromissions. Khalifa Sall n’est pas un homme de pouvoir. Il n’est pas non plus un homme au pouvoir qui, par lâcheté autant que par couardise, profite de la force et des attributs que lui confère cette position pour s’acharner contre ses opposants ou pour les emprisonner. Khalifa Sall ne s’est jamais déclaré actionnaire majoritaire du Parti socialiste même s’il peut le revendiquer mais c’est son droit de mener le combat avec d’autres responsables et militants pour préserver le legs et pour tracer un chemin d’avenir au Parti socialiste. Khalifa Sall n’est pas un homme de pouvoir mais un homme qui a le sens de l’Etat et des responsabilités.
Oui les populations de Dakar ne sont pas sorties dans la rue mais aux dernières élections législatives elles ont voté massivement pour la liste dirigée par Khalifa Sall et lui ont témoigné leur soutien. Tu le sais, et tes alliés le savent aussi, Khalifa Sall n’a pas perdu Dakar. Vous lui avez volé Dakar. Votre victoire usurpée à Dakar avec un écart de 2.000 voix a été obtenue par la fraude, la rétention volontaire des cartes d’électeurs, la désorganisation du scrutin et l’utilisation à une échelle industrielle et frauduleuse des ordres de mission.
Pour conclure, j’ose espérer que tes convictions d’hier restent encore valables pour toi à moins que comme beaucoup d’autres dans la galaxie présidentielle tu te sens obligé de justifier ton salaire et tes privilèges par des attaques ad hominem contre un homme en détention dont tu sais qu’il n’est pas en mesure de te répondre.
Tu ne m’en voudras pas de réagir à ta contribution car je continue de croire malgré tout que tu acceptes le débat d’idées. Pas des invectives comme celles qui jalonnent ton interview avec des jugements de valeurs sur des hommes politiques dont le seul tort est de porter des ambitions politiques différentes de la majorité actuelle.
L’intolérance qui transparait dans tes propos fait froid dans le dos. Tu vas même jusqu’à dénier à Khalifa Sall sa qualité d’homme politique le qualifiant d’homme de pouvoir. Contrairement à beaucoup d’entre vous, il ne se complait pas dans le pouvoir, dans un pouvoir où on s’installe à force de reniements et de compromissions. Khalifa Sall n’est pas un homme de pouvoir. Il n’est pas non plus un homme au pouvoir qui, par lâcheté autant que par couardise, profite de la force et des attributs que lui confère cette position pour s’acharner contre ses opposants ou pour les emprisonner. Khalifa Sall ne s’est jamais déclaré actionnaire majoritaire du Parti socialiste même s’il peut le revendiquer mais c’est son droit de mener le combat avec d’autres responsables et militants pour préserver le legs et pour tracer un chemin d’avenir au Parti socialiste. Khalifa Sall n’est pas un homme de pouvoir mais un homme qui a le sens de l’Etat et des responsabilités.
Oui les populations de Dakar ne sont pas sorties dans la rue mais aux dernières élections législatives elles ont voté massivement pour la liste dirigée par Khalifa Sall et lui ont témoigné leur soutien. Tu le sais, et tes alliés le savent aussi, Khalifa Sall n’a pas perdu Dakar. Vous lui avez volé Dakar. Votre victoire usurpée à Dakar avec un écart de 2.000 voix a été obtenue par la fraude, la rétention volontaire des cartes d’électeurs, la désorganisation du scrutin et l’utilisation à une échelle industrielle et frauduleuse des ordres de mission.
Pour conclure, j’ose espérer que tes convictions d’hier restent encore valables pour toi à moins que comme beaucoup d’autres dans la galaxie présidentielle tu te sens obligé de justifier ton salaire et tes privilèges par des attaques ad hominem contre un homme en détention dont tu sais qu’il n’est pas en mesure de te répondre.