Mamadou Lamine Diallo révèle dans sa Questekki de ce mardi que «le Trésor a besoin à court terme de 1000 milliards cash et pas de discours sur le taux de croissance». En effet, d’après le candidat à la présidentielle de 2019, le déficit budgétaire est de plus de 1200 milliards à fin décembre 2018. Et, pour l’instant, dit-il, «Macky Sall, le noble guerrier et ses esclaves soldats ne disposent que 220 milliards environ bloqués à la BCEAO à la demande du FMI pour 2019. Le gouvernement occulte la détresse des PME/PMI sénégalaises à qui l’Etat Macky Sall doit de l’argent».
Le leader du Mouvement Tekki poursuit en admettant que le président Macky Sall «méprise les 1 450 000 familles sénégalaises de huit membres qui vivent dans la précarité et la pauvreté avec moins de 7000 francs par jour, soit 2 500 000 francs par an et dont les enfants ne trouvent pas d’emplois, les oubliés du Grand Xaware de Paris». Il est aussi revenu sur les propos de certains «affidés» de Macky qui, selon lui, ont affirmé «au Grand “xaware” du Groupe consultatif de Paris» que pour apprécier le redressement des comptes publics, la première mesure permettant de vérifier l’impact d’une politique économique est le taux de croissance.
Ceci, à ses yeux, serait ironique si, explique-t-il, «la situation du peuple n’était pas tragique. Pourtant, selon lui, «les critères de convergence de l’Uemoa même modifiés en 2015 de premier et de second rang ne mentionnent pas le taux de croissance. La manipulation du PIB et de son taux de croissance par Macky Sall en 2014 a comme conséquence une baisse du taux de pression fiscale à 15-16%. Ce qui veut dire que les services fiscaux et douaniers du Sénégal sont moins forts que ceux du Niger par exemple». A l’en croire, «s’il s’agit des comptes publics, l’indicateur pertinent est le déficit budgétaire et son financement surtout».
Le leader du Mouvement Tekki poursuit en admettant que le président Macky Sall «méprise les 1 450 000 familles sénégalaises de huit membres qui vivent dans la précarité et la pauvreté avec moins de 7000 francs par jour, soit 2 500 000 francs par an et dont les enfants ne trouvent pas d’emplois, les oubliés du Grand Xaware de Paris». Il est aussi revenu sur les propos de certains «affidés» de Macky qui, selon lui, ont affirmé «au Grand “xaware” du Groupe consultatif de Paris» que pour apprécier le redressement des comptes publics, la première mesure permettant de vérifier l’impact d’une politique économique est le taux de croissance.
Ceci, à ses yeux, serait ironique si, explique-t-il, «la situation du peuple n’était pas tragique. Pourtant, selon lui, «les critères de convergence de l’Uemoa même modifiés en 2015 de premier et de second rang ne mentionnent pas le taux de croissance. La manipulation du PIB et de son taux de croissance par Macky Sall en 2014 a comme conséquence une baisse du taux de pression fiscale à 15-16%. Ce qui veut dire que les services fiscaux et douaniers du Sénégal sont moins forts que ceux du Niger par exemple». A l’en croire, «s’il s’agit des comptes publics, l’indicateur pertinent est le déficit budgétaire et son financement surtout».