(adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); Mamadou Diop Decroix regrette la décision de Madické Niang de se présenter à la présidentielle de 2019 contre la volonté de son parti, le Pds, et de son chef, Abdoulaye Wade. Et il a tenté de faire entendre raison à celui qui était jusque-là le président du groupe parlementaire Liberté et Démocratie. «Je lui ai dit : ‘À ta place, je ne me séparerais pas de Wade’. C’est cela qui me paraît politiquement juste», confie le secrétaire général d’AJ dans un entretien avec L’Observateur. «En politique, je préfère l’analyse aux calculs, jure Decroix. J’essaye de raisonner sur la base de ce qui me paraît simple à comprendre. Si Madické se propose comme recours, cela suppose que le Pds renonce à l’option de son congrès qui a désigné Karim (candidat du parti pour la présidentielle de 2019) ; ce qui me semble pas possible pour le Pds. Or une élection, surtout présidentielle, suppose un appareil difficile à construire en un laps de temps aussi court.» (adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({});