Pour le président Macky Sall, président en exercice de l’Union africaine, la lutte contre le terrorisme est une “question vitale” pour les deux continents et les Africains. C’est aussi “une question d’intérêt commun” en ce que les deux continents sont séparés par 15 km seulement. “Donc, tout ce qui touche l’un touche l’autre et vice-versa”, a indiqué le président Sall, hier, lors de la conférence conjointe avec son homologue français, en présence du président du Conseil européen et du président de la CEDEAO, le président ghanéen Nana Akufo Addo.
La lutte contre le terrorisme, estime le nouveau président de l’Union africaine, est devenu un défi majeur pour l’Afrique. Il affirme : “Nous ne voulons pas que le continent devienne le ventre mou de cette lutte contre le terrorisme international. C’est pourquoi nous souhaitons ardemment poursuivre, avec nos partenaires européens, les efforts solidaires déjà engagés depuis longtemps. Nous avons retenu que, considérant la situation nouvelle au Mali, nous comprenons cette décision prise par les autorités françaises et européennes de ne pas poursuivre leur intervention sur le théâtre malien.”
Prenant acte d’une telle décision, le président de l’Union africaine a insisté sur la nature globale de la menace qui ne saurait être combattue que par les Africains. “Nous sommes convenus avec l’Europe que la lutte contre le terrorisme au Sahel ne saurait être l’affaire des seuls pays africains. C’est un consensus et c’est heureux qu’il y ait eu un engagement de rester dans la région et de réarticuler le dispositif”.
La lutte contre le terrorisme, estime le nouveau président de l’Union africaine, est devenu un défi majeur pour l’Afrique. Il affirme : “Nous ne voulons pas que le continent devienne le ventre mou de cette lutte contre le terrorisme international. C’est pourquoi nous souhaitons ardemment poursuivre, avec nos partenaires européens, les efforts solidaires déjà engagés depuis longtemps. Nous avons retenu que, considérant la situation nouvelle au Mali, nous comprenons cette décision prise par les autorités françaises et européennes de ne pas poursuivre leur intervention sur le théâtre malien.”
Prenant acte d’une telle décision, le président de l’Union africaine a insisté sur la nature globale de la menace qui ne saurait être combattue que par les Africains. “Nous sommes convenus avec l’Europe que la lutte contre le terrorisme au Sahel ne saurait être l’affaire des seuls pays africains. C’est un consensus et c’est heureux qu’il y ait eu un engagement de rester dans la région et de réarticuler le dispositif”.