Invité ce vendredi matin de la RFM, le ministre de l’Environnement et du Développement durable n’a pas uniquement tiré sur les opposants. Abdou Karim SALL s’en est également pris aux Sénégalais, trop critiques à son gout.
« Les gens passent tout leur temps à critiquer. Ils passent toujours à côté des bonnes choses ou des réalisations du régime. J’invite certains de nos compatriotes à aller faire le tour dans la sous-région ou ailleurs. A leur retour, ils comprendront qu’il faut qu’ils rendent grâce à Dieu », a déclaré l’ancien Directeur général de l’Agence de régulation des télécommunications et des postes (ARTP).
Interpellé sur sa vaine tentative de fermer les locaux du groupe Walfadjri, pour donner un exemple de l’allergie aux critiques des gouvernants, Abdou Karim SALL nie en bloc et estime que c’est le groupe de presse qui était sorti des règles. « Ce que j’étais allé faire à Walfadjri c’était dans le cadre de la mission qui m’a été confiée », soutient-il. Répondant au journaliste qui lui demande si cette mission consistait à fermer le groupe de presse, Abdou Karim SALL enchaine les délires : « On a donné à chacun des promoteurs de télé et de radios des droits et des limites qu’il ne faut pas dépasser. Ce n’est pas qu’on l’a ouvert qu’on ne peut pas le fermer. Si tu as une radio ou un outil qui peut allumer le pays et que tu t’inscris dans cette dynamique, je pense que cette radio et cette télé doivent être fermées », déclare-t-il. Avant de lancer : « je ne regrette rien par rapport à ce que j’avais fait à l’époque ».
Pourtant, à l’époque, le 20 mars 2016, jour du référendum, quand les Sénégalais sortis en masse l’ont fait déguerpir, Abdou Karim SALL avait nié être venu pour fermer les locaux du groupe. « Si l’ARTP avait l’intention de fermer ou bien de couper le signal de Walf, on ne se serait pas déplacé à Khar Yalla parce qu’on sait très bien que les émetteurs de Walfadjri ne sont pas à Khar Yalla », avait-il répondu.
« Les gens passent tout leur temps à critiquer. Ils passent toujours à côté des bonnes choses ou des réalisations du régime. J’invite certains de nos compatriotes à aller faire le tour dans la sous-région ou ailleurs. A leur retour, ils comprendront qu’il faut qu’ils rendent grâce à Dieu », a déclaré l’ancien Directeur général de l’Agence de régulation des télécommunications et des postes (ARTP).
Interpellé sur sa vaine tentative de fermer les locaux du groupe Walfadjri, pour donner un exemple de l’allergie aux critiques des gouvernants, Abdou Karim SALL nie en bloc et estime que c’est le groupe de presse qui était sorti des règles. « Ce que j’étais allé faire à Walfadjri c’était dans le cadre de la mission qui m’a été confiée », soutient-il. Répondant au journaliste qui lui demande si cette mission consistait à fermer le groupe de presse, Abdou Karim SALL enchaine les délires : « On a donné à chacun des promoteurs de télé et de radios des droits et des limites qu’il ne faut pas dépasser. Ce n’est pas qu’on l’a ouvert qu’on ne peut pas le fermer. Si tu as une radio ou un outil qui peut allumer le pays et que tu t’inscris dans cette dynamique, je pense que cette radio et cette télé doivent être fermées », déclare-t-il. Avant de lancer : « je ne regrette rien par rapport à ce que j’avais fait à l’époque ».
Pourtant, à l’époque, le 20 mars 2016, jour du référendum, quand les Sénégalais sortis en masse l’ont fait déguerpir, Abdou Karim SALL avait nié être venu pour fermer les locaux du groupe. « Si l’ARTP avait l’intention de fermer ou bien de couper le signal de Walf, on ne se serait pas déplacé à Khar Yalla parce qu’on sait très bien que les émetteurs de Walfadjri ne sont pas à Khar Yalla », avait-il répondu.