Par un lamentable communiqué indigne d’une structure de cadres d’un parti qui préside, de surcroit, aux destinées de notre cher pays, la Convergence de Cadres Républicains a réagi aux propos du Président Ousmane Sonko tenus lors de la séance de dédicace de son livre-éclairage intitulé "Pétrole et gaz au Sénégal : Chronique d’une spoliation".
Sans surprise, en lieu et place d’un démenti, dans les mêmes formes, à savoir un livre-réponse à celui du Président Sonko, qui rappelons-le, a défié toute l’intelligentsia de l’APR à en récuser une seule virgule, voici ce que l’ensemble des cadres apéristes a laborieusement pondu :
«Aigri malheureux, Ousmane Sonko dont l’inexpérience n’a d’égal que son égo surdimensionné de nouveau pétrolier improvisé avec tout un amas de contrevérités devrait comprendre que les Sénégalais ont horreur de la Haine. Il n’a pas retenu les leçons de son repêchage in extremis lors des élections législatives de juillet 2017. Sonko est dans la contrevérité éternelle avec les œillères d’une haine viscérale sans remède. Lui aussi est incurable, parce que la haine est incurable».
Comme à leur habitude et c’est tout l’expérience dont ils se prévalent, ils posent un débat de bas étage, fait d’attaques personnelles subjectives, d’invectives et concentration d’insultes. Qu’ils soient rassurés, nous cadres patriotes n’entendons nullement les suivre dans les caniveaux. Tel n’est pas notre terrain de prédilection. Au contraire nous les appelons à élever le débat politique et à démonter nos affirmations s’ils sont véridiques.
Les faits sont têtus et la série de forfaitures manifestes qui a traversé toutes les phases contractuelles, de la signature à la cession des titres en passant par le refus de préempter, la prolongation de la période de recherche et la fraude fiscale, . Les voici en résumé : extraits du livre qui manifestement continue à faire très mal :
- Le 17 janvier 2012 : signature d’un contrat de recherche et de partage de production d’hydrocarbures pour les blocs de Cayar Offshore Profond et Saint-Louis Offshore Profond entre l’Etat du Sénégal et Petrosen, d’une part, et de l’autre Petro-Tim Limited pour respectivement 10% et 90%.
- Le 19 janvier 2012 : création de la société Petro-Tim Limited sous le numéro 265741. Comment expliquerez-vous aux Sénégalais qu’une société créée un jeudi puisse signer un contrat le mardi d’avant ?
- Le 06 mars 2012 : création aux îles vierges britanniques de la société Petro-Asia Resources Limited sous le numéro 270281, mère de Petro-Tim Limited. Comment expliquerez-vous aux Sénégalais qu’une filiale (Petro-Tim Limited) soit plus âgée que la société-mère (Petro-Asia Resources Limited) ?
- Le 19 juin 2012 : signature des Décrets d’approbation par le Président Macky Sall. Or, sans ces Décrets les contrats manifestement entachés d’irrégularités et compromettant gravement les intérêts du Sénégal n’auraient eu aucune validité. Pour faire signer ces Décrets, le Ministre de l’Energie et des Mines écrira, dans leur rapport de présentation (pour satisfaire aux exigences de l’article 8 de loi n° 98-05 du 08 janvier 1998 portant Code pétrolier du Sénégal) que, entre sa création le 06 mars 2012 et la signature des Décrets approuvant les contrats de partage de production, le 19 juin 2012, Petro-Asia a pu être dotée d’une expérience avérée et réussie dans le secteur de l’énergie et notamment dans l’exploration-production des hydrocarbures.
Voilà pourquoi, il demeure, avec son complice le ministre Aly Ngouille Ndiaye, le seul et unique responsable de cette forfaiture qui a fini de sacrifier les intérêts de toute une nation sous l’autel de ceux de sa propre famille et de son frère Aliou Sall. De la très haute trahison organisée. Comment démontrerez-vous aux Sénégalais qu’en trois mois une société nouvellement créée ait pu avoir une expérience réussie et avérée dans le domaine si technique des hydrocarbures ?
Il n’est point besoin de s’improviser pétrolier, géologue, ingénieur, géophysicien, ingénieur réservoir, ingénieur installations pétrolières pour comprendre cette forfaiture qui est strictement juridique avec des implications financières. Dire, comme le soutient le ministre Mor Ngom, que le débat est prématuré car aucune goutte de pétrole n’est encore extraite est une manipulation odieuse de l’opinion à laquelle on cherche à cacher le fait que le contrat signé est un contrat de partage de la production attendue.
Voilà toute la source de l’indignation des Patriotes du Sénégal pour le Travail l’Ethique et la Fraternité (PASTEF) en tête desquels le Président Ousmane Sonko. Cette indignation est différente de la haine qui a poussé un vindicatif, a dépoussiéré la CREI, le résultat on le connait... Cette indignation c’est la source de l’énergie nécessaire à la croisade de PASTEF contre la prévarication, la mal gouvernance, le non-respect de la parole donnée avec des slogans creux qui ne sont articulés autour d’aucune vision. N’est-ce pas le Président Macky Sall lui-même qui a crié très fort dans un micro qu’il «n’a jamais eu l’ambition d’être président de la République» et donc qu’il n’a jamais été porteur d’un rêve ou d’un projet de société pour le Sénégal ?
Qu’il soit défendu par un homme comme Serigne Mboup n’étonne guère. Serigne Mboup, faut-il le rappeler est un transhumant ayant été nommé DG de Petrosen sous Wade, il quittera le PDS dès sa chute pour l’APR qu’il a combattu jusqu’au soir de l’élection de Macky Sall au deuxième tour. Il est de cette race de politiciens véreux, prêts à brouter dans tous les râteliers et dont il faut absolument se débarrasser pour une promotion des valeurs de «ngor et jom» qu’il n’a jamais incarnées. Tel est le combat de PASTEF-LES PATRIOTES.
Sans surprise, en lieu et place d’un démenti, dans les mêmes formes, à savoir un livre-réponse à celui du Président Sonko, qui rappelons-le, a défié toute l’intelligentsia de l’APR à en récuser une seule virgule, voici ce que l’ensemble des cadres apéristes a laborieusement pondu :
«Aigri malheureux, Ousmane Sonko dont l’inexpérience n’a d’égal que son égo surdimensionné de nouveau pétrolier improvisé avec tout un amas de contrevérités devrait comprendre que les Sénégalais ont horreur de la Haine. Il n’a pas retenu les leçons de son repêchage in extremis lors des élections législatives de juillet 2017. Sonko est dans la contrevérité éternelle avec les œillères d’une haine viscérale sans remède. Lui aussi est incurable, parce que la haine est incurable».
Comme à leur habitude et c’est tout l’expérience dont ils se prévalent, ils posent un débat de bas étage, fait d’attaques personnelles subjectives, d’invectives et concentration d’insultes. Qu’ils soient rassurés, nous cadres patriotes n’entendons nullement les suivre dans les caniveaux. Tel n’est pas notre terrain de prédilection. Au contraire nous les appelons à élever le débat politique et à démonter nos affirmations s’ils sont véridiques.
Les faits sont têtus et la série de forfaitures manifestes qui a traversé toutes les phases contractuelles, de la signature à la cession des titres en passant par le refus de préempter, la prolongation de la période de recherche et la fraude fiscale, . Les voici en résumé : extraits du livre qui manifestement continue à faire très mal :
- Le 17 janvier 2012 : signature d’un contrat de recherche et de partage de production d’hydrocarbures pour les blocs de Cayar Offshore Profond et Saint-Louis Offshore Profond entre l’Etat du Sénégal et Petrosen, d’une part, et de l’autre Petro-Tim Limited pour respectivement 10% et 90%.
- Le 19 janvier 2012 : création de la société Petro-Tim Limited sous le numéro 265741. Comment expliquerez-vous aux Sénégalais qu’une société créée un jeudi puisse signer un contrat le mardi d’avant ?
- Le 06 mars 2012 : création aux îles vierges britanniques de la société Petro-Asia Resources Limited sous le numéro 270281, mère de Petro-Tim Limited. Comment expliquerez-vous aux Sénégalais qu’une filiale (Petro-Tim Limited) soit plus âgée que la société-mère (Petro-Asia Resources Limited) ?
- Le 19 juin 2012 : signature des Décrets d’approbation par le Président Macky Sall. Or, sans ces Décrets les contrats manifestement entachés d’irrégularités et compromettant gravement les intérêts du Sénégal n’auraient eu aucune validité. Pour faire signer ces Décrets, le Ministre de l’Energie et des Mines écrira, dans leur rapport de présentation (pour satisfaire aux exigences de l’article 8 de loi n° 98-05 du 08 janvier 1998 portant Code pétrolier du Sénégal) que, entre sa création le 06 mars 2012 et la signature des Décrets approuvant les contrats de partage de production, le 19 juin 2012, Petro-Asia a pu être dotée d’une expérience avérée et réussie dans le secteur de l’énergie et notamment dans l’exploration-production des hydrocarbures.
Voilà pourquoi, il demeure, avec son complice le ministre Aly Ngouille Ndiaye, le seul et unique responsable de cette forfaiture qui a fini de sacrifier les intérêts de toute une nation sous l’autel de ceux de sa propre famille et de son frère Aliou Sall. De la très haute trahison organisée. Comment démontrerez-vous aux Sénégalais qu’en trois mois une société nouvellement créée ait pu avoir une expérience réussie et avérée dans le domaine si technique des hydrocarbures ?
Il n’est point besoin de s’improviser pétrolier, géologue, ingénieur, géophysicien, ingénieur réservoir, ingénieur installations pétrolières pour comprendre cette forfaiture qui est strictement juridique avec des implications financières. Dire, comme le soutient le ministre Mor Ngom, que le débat est prématuré car aucune goutte de pétrole n’est encore extraite est une manipulation odieuse de l’opinion à laquelle on cherche à cacher le fait que le contrat signé est un contrat de partage de la production attendue.
Voilà toute la source de l’indignation des Patriotes du Sénégal pour le Travail l’Ethique et la Fraternité (PASTEF) en tête desquels le Président Ousmane Sonko. Cette indignation est différente de la haine qui a poussé un vindicatif, a dépoussiéré la CREI, le résultat on le connait... Cette indignation c’est la source de l’énergie nécessaire à la croisade de PASTEF contre la prévarication, la mal gouvernance, le non-respect de la parole donnée avec des slogans creux qui ne sont articulés autour d’aucune vision. N’est-ce pas le Président Macky Sall lui-même qui a crié très fort dans un micro qu’il «n’a jamais eu l’ambition d’être président de la République» et donc qu’il n’a jamais été porteur d’un rêve ou d’un projet de société pour le Sénégal ?
Qu’il soit défendu par un homme comme Serigne Mboup n’étonne guère. Serigne Mboup, faut-il le rappeler est un transhumant ayant été nommé DG de Petrosen sous Wade, il quittera le PDS dès sa chute pour l’APR qu’il a combattu jusqu’au soir de l’élection de Macky Sall au deuxième tour. Il est de cette race de politiciens véreux, prêts à brouter dans tous les râteliers et dont il faut absolument se débarrasser pour une promotion des valeurs de «ngor et jom» qu’il n’a jamais incarnées. Tel est le combat de PASTEF-LES PATRIOTES.