Le procès qui met aux prises L’Etat du Sénégal et le Maire de Dakar et Cie se poursuit ce vendredi. Il en est à son 4eme jour, mais c’est toujours le statu quo. La bataille de procédure enclenchée depuis le premier jour se poursuit de plus belle.
(adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); La nouveauté aujourd’hui, c’est la demande de liberté provisoire déposée par la défense en faveur de Khalifa Sall et de ses co-détenus. Me Ciré Clédor Ly de la défense s’est basé sur «l’article 130 du Code de procédure pénale qui dispose en son alinéa 1 que «la mise en liberté provisoire peut aussi être demandée en tout état de cause par tout inculpé, prévenu ou accusé, et en toute période de la procédure».
(adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); Autre nouveauté toujours venant de la défense, c’est la demande de l’avocat précité, au juge, de «mettre fin à ce procès» attestant que «la plaidoirie est l’art de convaincre, or l’évidence n’a pas besoin de plaidoirie». Pour argumenter sa demande, l’avocat dira : «Nous sommes préoccupés à essayer de savoir est-ce que ce procès doit continuer. La plaidoirie est un art de convaincre alors que l’évidence n’a pas besoin de plaidoirie. Le dossier de Khalifa Sall est le dossier de l’évidence et les juges que vous êtes ne pourront que mettre fin à ce procès. La première c’est qu’il y a d’énormes obstacles infranchissables. Il n’y a pas eu d’instruction. La procédure est entachée de graves irrégularités. Ce sont ces évidences que je viens vous livrer».
Le procès se poursuit avec la plaidoirie des avocats de l’Etat.
Avec Dakaractu
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Le procès se poursuit avec la plaidoirie des avocats de l’Etat.
Avec Dakaractu
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