Les observateurs de l’Union Africaine (UA) sont au Sénégal pour les besoins des législatives 2017. «Nous leurs avons tout simplement dit que nous avons des difficultés à nous accorder sur les mots pour qualifier ce comportant du président Macky Sall», sert Déthié Fall de la Coalition «Manko Taxawu Senegaal» (MTS).
Le vice-président de Rewmi d’indiquer : «Dès fois on est gagné par le mot négligence, parfois par le mot insouciance, parfois le mot inconscience et le mot qui revient le plus c’est l’incompétence pour dire qu’à 5 jours de la tenue des élections, voire le président de la République Macky Sall saisir le conseil constitutionnel pour valider une décision incompréhensible, irresponsable».
Et cela, poursuit-t-il, «pour encore une fois violer les dispositions de la loi électorale en son article L 53 alinéa 1» qui dit d’abord que: «la carte nationale d’identité biométrique est couplée à la carte d’électeur et que celle-ci office de carte d’électeur». En son article L78 qui stipule qu’ «à son entrée dans le bureau de vote, le citoyen présente sa carte d’électeur, faire une proposition avec la possibilité d’utilisation du permis de conduire, du passeport».
«Vouloir violer ces dispositions, c’est regrettable dans une démocratie majeure comme le Sénégal», peste-t-il.
Le second d’Idrissa Seck ajoute qu’ils «(sont) également revenus sur l’alerte que l’opposition a faite depuis plus d’un an, d’abord sur l’incompétence, l’inaptitude du ministre Abdoulaye Daouda Diallo à organiser des élections libres, transparentes et démocratiques dans ce pays».
Avant de marteler: «Nous leurs avons parlé également du temps extrêmement court qui nous séparait après la revue technique du code électoral à la période de la tenue des élections législatives et qui ne permettait pas d’engager une refonte partielle du fichier et d’avoir un fichier fiable».
Interpellé sur la réaction des observateurs après les avoir entendu, le rewmiste souligne qu’ils les ont «écouté» et «posé des questions sur les solutions».
«Le calendrier électoral est un calendrier prés établi. En 2012 déjà, on savait qu’en 2017 des élections législatives allaient se tenir dans ce pays, et on le dit de façon toute simple que gouverner c’est prévoir», assène Déthié Fall.
Et d’enfoncer le clou: «on a une administration forte, rigoureuse mais malheureusement dirigée aujourd’hui par des cadres politiques incompétents qui sont aux côtés du président Macky Sall ».
Le membre de MTS d’informer par la même occasion que l’opposition est «actuellement en concertation par rapport à la proposition du président Macky Sall (de voter avec les anciennes cartes électeurs, permis de conduire ou passeport). «Qu’il arrête de penser que ce pays lui appartient», lance-t-il à l’endroit du Chef de l’Etat en scandant que le Sénégal «n’est pas dans une République bananière. Donc, il faudrait qu’on se conforme aux textes de ce pays pour que chacun puisse exprimer librement le droit que ces textes lui confèrent». «Et, aujourd’hui, ces droits conférés par la loi électorale font que chaque citoyen puisse disposer de sa carte d’électeur et les pièces qu’il doit utiliser pour aller voter. Et, selon les textes de la loi électorale, il s’agit de la carte d’électeur et pas d’une autre pièce», déclare-t-il.
«J’ai dit aux membres de l’observateur de l’Union Africaine que c’est de leur mission de faire en sorte que nos dirigeants puissent se hisser de nouveau des attentes de nos populations, si on veut avoir un pays développer», sert-il par ailleurs.
Par rapport à l’idée de boycotter les élections, Déthié Fall avance qu’«on ne doit pas les inviter dans des procédés de sabotages d’élections (car) un pays sérieux composé de hautes compétences doit pouvoir avec son administration avec ses cadres politiques établir un calendrier bien respecté qui peut nous permettre à chaque fois d’organiser des élections libres et transparentes». «Nous sommes contre la médiocrité et nous n’allons jamais accepter cette médiocrité du régime place», clôt-il.
Le vice-président de Rewmi d’indiquer : «Dès fois on est gagné par le mot négligence, parfois par le mot insouciance, parfois le mot inconscience et le mot qui revient le plus c’est l’incompétence pour dire qu’à 5 jours de la tenue des élections, voire le président de la République Macky Sall saisir le conseil constitutionnel pour valider une décision incompréhensible, irresponsable».
Et cela, poursuit-t-il, «pour encore une fois violer les dispositions de la loi électorale en son article L 53 alinéa 1» qui dit d’abord que: «la carte nationale d’identité biométrique est couplée à la carte d’électeur et que celle-ci office de carte d’électeur». En son article L78 qui stipule qu’ «à son entrée dans le bureau de vote, le citoyen présente sa carte d’électeur, faire une proposition avec la possibilité d’utilisation du permis de conduire, du passeport».
«Vouloir violer ces dispositions, c’est regrettable dans une démocratie majeure comme le Sénégal», peste-t-il.
Le second d’Idrissa Seck ajoute qu’ils «(sont) également revenus sur l’alerte que l’opposition a faite depuis plus d’un an, d’abord sur l’incompétence, l’inaptitude du ministre Abdoulaye Daouda Diallo à organiser des élections libres, transparentes et démocratiques dans ce pays».
Avant de marteler: «Nous leurs avons parlé également du temps extrêmement court qui nous séparait après la revue technique du code électoral à la période de la tenue des élections législatives et qui ne permettait pas d’engager une refonte partielle du fichier et d’avoir un fichier fiable».
Interpellé sur la réaction des observateurs après les avoir entendu, le rewmiste souligne qu’ils les ont «écouté» et «posé des questions sur les solutions».
«Le calendrier électoral est un calendrier prés établi. En 2012 déjà, on savait qu’en 2017 des élections législatives allaient se tenir dans ce pays, et on le dit de façon toute simple que gouverner c’est prévoir», assène Déthié Fall.
Et d’enfoncer le clou: «on a une administration forte, rigoureuse mais malheureusement dirigée aujourd’hui par des cadres politiques incompétents qui sont aux côtés du président Macky Sall ».
Le membre de MTS d’informer par la même occasion que l’opposition est «actuellement en concertation par rapport à la proposition du président Macky Sall (de voter avec les anciennes cartes électeurs, permis de conduire ou passeport). «Qu’il arrête de penser que ce pays lui appartient», lance-t-il à l’endroit du Chef de l’Etat en scandant que le Sénégal «n’est pas dans une République bananière. Donc, il faudrait qu’on se conforme aux textes de ce pays pour que chacun puisse exprimer librement le droit que ces textes lui confèrent». «Et, aujourd’hui, ces droits conférés par la loi électorale font que chaque citoyen puisse disposer de sa carte d’électeur et les pièces qu’il doit utiliser pour aller voter. Et, selon les textes de la loi électorale, il s’agit de la carte d’électeur et pas d’une autre pièce», déclare-t-il.
«J’ai dit aux membres de l’observateur de l’Union Africaine que c’est de leur mission de faire en sorte que nos dirigeants puissent se hisser de nouveau des attentes de nos populations, si on veut avoir un pays développer», sert-il par ailleurs.
Par rapport à l’idée de boycotter les élections, Déthié Fall avance qu’«on ne doit pas les inviter dans des procédés de sabotages d’élections (car) un pays sérieux composé de hautes compétences doit pouvoir avec son administration avec ses cadres politiques établir un calendrier bien respecté qui peut nous permettre à chaque fois d’organiser des élections libres et transparentes». «Nous sommes contre la médiocrité et nous n’allons jamais accepter cette médiocrité du régime place», clôt-il.