L’énergumène Mame Gor Diazzaka s’est ainsi pris au Témoin. Ça ne nous parait pas être un affront. Venant d’un idiot, pas grave ! Une précision. Cela fait longtemps que le gus est considéré comme une relique dans notre « pauvre » Rédaction. Un de mes grands du journal m’a raconté ses faits d’armes peu glorieux. Il s’est battu comme un chiffonnier avec une animatrice de Top FM, la radio du groupe, qui avait oublié qu’il avait sorti un produit. Pour être précis, la dame avait mis à la poubelle ce navet qui pouvait indisposer les auditeurs par son charivari. Et il continue de produire des albums du genre. Juste pour dire que cela fait longtemps qu’on ne le considère pas comme un musicien, mais plutôt un «Door Katt». Le garde du corps de Cheikh Amar qui t’avait chassé comme un malpropre en sait quelque chose. Ce n’est pas le cas pour nous du Témoin. Des soulards au Témoin ? Tu peux passer nous voir pour trinquer !
On sort un jour pour attendre un mois avant de ressortir. Dommage que tu n’es pas un fidèle lecteur. On doute même que tu puisses savoir lire. Oui, il nous arrive de rester deux jours sans paraitre. Là, se trouve la vérité. Et c’est simple ! C’est parce que nous sommes différents de toi puisque tu es prêt à offrir le derrière pour quelques billets de francs Cfa. Ce n’est point un secret. Tu vis au crochet de la famille Faye – Sall. Ce n’est pas notre cas. Nous sommes libres, indépendants. On s’en contrefiche des autorités ! Cela n’empêche, on ne souffre pas jusqu’à aller quémander. Demande à Macky qui est MON ? Il sait, Mon sait ! Et puis, idiot comme tu es, je doute que tu puisses comprendre dès lors que tu ne fais que débiter des âneries. On te connait par ce chef d’œuvre, Roi des door katt ! Tu étales ton ignorance en débitant des sornettes sur ce canard qui a plus de vingt-cinq ans d’existence. C’est parce que tu es trop bête pour comprendre son histoire.
Personnellement, je suis fier de travailler dans cet organe et je gagne ma vie grâce à ma plume. On ne peut pas en dire autant de toi. Qui s’en prenait à la Sodav ? Quand ton jeune frère Waly Seck soutient bien vivre de ses revenus de la Sodav, ça ne semble pas être ton cas. C’est parce que tu es un fantôme dans le milieu musical. Bref, tu n’es rien et ne représentes rien, mais tu survis grâce à la générosité de ceux qui t’entretiennent. Tu veux une liste ? Au frais de qui tu es en Egypte ? Monsieur le saltimbanque, reviens sur terre. Tu n’es rien, absolument rien. Faut cesser d’aboyer pour ne débiter que des âneries. A la fin, on plaint ceux qui te tendent le micro pour ton show devenu insipide. Un de mes grands m’a toujours dit que t’es un idiot. Je crois que l’on doit chercher un mot plus fort que ça. Tu ferais mieux de rester dans ton coin et bouffer le fric que tu quémandes comme un mendiant.
J’ai pitié de ta famille qui, sans nulle doute, bien sûr si elle n’a pas les mêmes habitudes que toi, souffre profondément. Voilà tu ne peux faire que ça, prendre la défense de la Fédération pour nous insulter. Heureusement qu’on a bien pris cette leçon de Idrissa Seck «la bave du crapaud crasseux comme toi, ne peut nous atteindre». Personnellement, tu ne vaux absolument rien à mes yeux. J’ai été un témoin oculaire. Tu dois bien te souvenir des insultes que tu proférais à l’endroit du président Sall tout en persistant quand on te demandait d’être plus poli. C’est pourquoi je me demande toujours si c’est le même individu qui lui tresse des lauriers… Il fait chaud et je commence à m’étouffer en pensant à tes rastas et à la dépigmentation de ta tendre… Oh ! Quel pitoyable minus.
On sort un jour pour attendre un mois avant de ressortir. Dommage que tu n’es pas un fidèle lecteur. On doute même que tu puisses savoir lire. Oui, il nous arrive de rester deux jours sans paraitre. Là, se trouve la vérité. Et c’est simple ! C’est parce que nous sommes différents de toi puisque tu es prêt à offrir le derrière pour quelques billets de francs Cfa. Ce n’est point un secret. Tu vis au crochet de la famille Faye – Sall. Ce n’est pas notre cas. Nous sommes libres, indépendants. On s’en contrefiche des autorités ! Cela n’empêche, on ne souffre pas jusqu’à aller quémander. Demande à Macky qui est MON ? Il sait, Mon sait ! Et puis, idiot comme tu es, je doute que tu puisses comprendre dès lors que tu ne fais que débiter des âneries. On te connait par ce chef d’œuvre, Roi des door katt ! Tu étales ton ignorance en débitant des sornettes sur ce canard qui a plus de vingt-cinq ans d’existence. C’est parce que tu es trop bête pour comprendre son histoire.
Personnellement, je suis fier de travailler dans cet organe et je gagne ma vie grâce à ma plume. On ne peut pas en dire autant de toi. Qui s’en prenait à la Sodav ? Quand ton jeune frère Waly Seck soutient bien vivre de ses revenus de la Sodav, ça ne semble pas être ton cas. C’est parce que tu es un fantôme dans le milieu musical. Bref, tu n’es rien et ne représentes rien, mais tu survis grâce à la générosité de ceux qui t’entretiennent. Tu veux une liste ? Au frais de qui tu es en Egypte ? Monsieur le saltimbanque, reviens sur terre. Tu n’es rien, absolument rien. Faut cesser d’aboyer pour ne débiter que des âneries. A la fin, on plaint ceux qui te tendent le micro pour ton show devenu insipide. Un de mes grands m’a toujours dit que t’es un idiot. Je crois que l’on doit chercher un mot plus fort que ça. Tu ferais mieux de rester dans ton coin et bouffer le fric que tu quémandes comme un mendiant.
J’ai pitié de ta famille qui, sans nulle doute, bien sûr si elle n’a pas les mêmes habitudes que toi, souffre profondément. Voilà tu ne peux faire que ça, prendre la défense de la Fédération pour nous insulter. Heureusement qu’on a bien pris cette leçon de Idrissa Seck «la bave du crapaud crasseux comme toi, ne peut nous atteindre». Personnellement, tu ne vaux absolument rien à mes yeux. J’ai été un témoin oculaire. Tu dois bien te souvenir des insultes que tu proférais à l’endroit du président Sall tout en persistant quand on te demandait d’être plus poli. C’est pourquoi je me demande toujours si c’est le même individu qui lui tresse des lauriers… Il fait chaud et je commence à m’étouffer en pensant à tes rastas et à la dépigmentation de ta tendre… Oh ! Quel pitoyable minus.