Le Sénégal est devenu de nos jours, le pays où le temps de l’injustice est largement supérieur au temps de la justice. Au lieu de passer leurs temps à muscler la démocratie sous toutes ses formes, l’exécutif, la justice politique et la police politique musclent sans cesse la dictature mise en place par le pouvoir actuel.
Le pays a réellement besoin d’un « NDEUP » général de l’exécutif, de la justice politique et de la police politique, afin de purifier l’écosystème Sénégalais. Le prosélytisme, le chantage, le bashing systématiques exercés sur la personne de Khalifa Sall doivent cesser immédiatement, puisque injustes et injustifiés.
L’entente permanente entre l’exécutif, la justice politique et la police politique est à bannir définitivement au Sénégal. Pour la bonne et simple raison que c’est un vrai danger pour la démocratie Sénégalaise. Force est de reconnaître que la majorité des Sénégalais ne croit plus et n’a plus confiance au trio (Exécutif, justice politique et police politique).
Ce trio est atteint de plusieurs maux que je surnomme volontiers les chocs : choc de la manipulation, choc de l’arbitraire, choc de la corruption, choc du despotisme, choc du mensonge, choc du chantage, choc de l’injustice, choc de la dissuasion, choc de la force, choc de l’absolutisme, choc de la dictature, choc de la ruse, choc de la partialité, choc de la tromperie, … Oust ! J’en passe !
Le Sénégal est pris en otage par l’exécutif, la justice politique et la police politique. Ces derniers agissent ensemble par ruse pour éliminer systématiquement les opposants au régime en place. Ce pseudo-trio ne sait ni techniciser la politique, ni politiser la technique. Ils ne sont là que pour faire des combines malsaines sur le dos d’honnêtes citoyens, et se partagent les ressources du pays. Le Sénégal va très mal avec ce trio machiavélique. Les procès, les purges, le contrôle de l’information, la terreur, le règne de la force et de l’intimidation exercés par l’exécutif, la justice politique et la police politique sur les opposants pour les museler doivent s’arrêter sans délai puisque contraire a l’Etat de droit et à la démocratie.
C’est un artefact que de voir de nobles et dignes fils du Sénégal (Khalifa Sall, Bamba Fall, Barthélémy Dias, …) arrêtés par l’exécutif, la justice politique et la police politique. Ces opposants n’ont rien à faire en prison. Ils n’ont fait que réclamer de manière factuelle leur droit qu’est le départ de l’incompétent Tanor DIENG, qui n’a aucune légitimité au sein même du Parti Socialiste. Oui cet homme est le malheur du Parti Socialiste et du Sénégal.
Il ne peut strictement rien apporter ni au Parti socialiste, ni au Sénégal. Il n’est là que pour bénéficier de l’argent du contribuable Sénégalais en marchandant le Parti socialiste à l’APR. Il est grand temps que le Parti Socialiste soit dirigé par une autorité beaucoup plus crédible et légitime que Tanor Dieng. Les combines de ce dernier avec l’exécutif, la justice politique et la police politique suivent une trajectoire dictatoriale. N’est-ce pas Benito Mussolini qui disait : «Tout dans l’Etat, rien contre l’Etat, rien en dehors de l’Etat ?» C’est exactement ce qu’appliquent ces derniers.
Toute personne s’opposant au pouvoir en place est systématiquement arrêtée et emprisonnée. Alors que la pierre angulaire même de toute grande démocratie nécessite la présence claire et soutenue de deux grands Partis. Ce qui n’est pas le cas actuellement au Sénégal. Le pouvoir en place élimine crescendo les opposants. La dictature rampante exercée par l’exécutif, la justice politique et la police politique est visible partout dans le pays.
Les membres du Parti au pouvoir détiennent le monopole absolu des moyens de communication. Ces derniers occupent les postes à responsabilité dans le pays. Sans compter les interdictions des manifestations, les incarcérations arbitraires, les organisations de procès factices, la destruction de l’opposition légale, … Bref une ambigüité sur la séparation des pouvoirs et une démocratie de façade visant à capter la bienveillance internationale.
L’arrestation du digne et noble fils du Sénégal sera un effet pervers pour le pouvoir en place. Macky Sall doit intérioriser dans sa conscience discursive qu’il a créé plus de 14 millions de Khalifa Sall en emprisonnant arbitrairement le maire légitime de la ville de Dakar. Il ne faut surtout pas que l’exécutif, la justice politique et la police politique prennent les Sénégalais pour des moutons de panurges.
Le procès intenté au maire de Dakar est strictement politique. Les Sénégalais sont face à une justice à deux vitesses. D’ailleurs, où sont les affaires Petro-Tim, Béthio avec deux Sénégalais froidement exécutés, l’un enterré vivant, Thione Dollard avec des millions de faux billets, Hôtel du Lamantin Beach, Lonase, les milliards de Taïwan ? … J’en passe ! (NAFEKH GUI DAFA DOYE).
Vous n’avez rien d’autre à faire que de vous acharner sur un digne et noble fils du pays ? Khalifa SALL vous a tenu tête et vous a battu partout, c’est la raison pour laquelle vous l’avez arrêté et emprisonné arbitrairement. Si vous souhaitez travailler honnêtement, je vous conseille vivement de consacrer votre temps de manière factuelle sur les affaires citées ci-dessus.
In fine, je dirais volontiers qu’un réveil national est plus que nécessaire pour mettre fin à cette dictature rampante, à la politique politicienne et au scandale tsunamique du siècle qu’est l’emprisonnement arbitraire de Khalifa SALL avant que le Sénégal ne sombre dans le chaos.
A bon entendeur salut !
NGOM EL HADJI ABASSE
Diplômé en science politique à la faculté de droit et de science politique de Montpellier (France). Mail : alajiass@live.fr
Le pays a réellement besoin d’un « NDEUP » général de l’exécutif, de la justice politique et de la police politique, afin de purifier l’écosystème Sénégalais. Le prosélytisme, le chantage, le bashing systématiques exercés sur la personne de Khalifa Sall doivent cesser immédiatement, puisque injustes et injustifiés.
L’entente permanente entre l’exécutif, la justice politique et la police politique est à bannir définitivement au Sénégal. Pour la bonne et simple raison que c’est un vrai danger pour la démocratie Sénégalaise. Force est de reconnaître que la majorité des Sénégalais ne croit plus et n’a plus confiance au trio (Exécutif, justice politique et police politique).
Ce trio est atteint de plusieurs maux que je surnomme volontiers les chocs : choc de la manipulation, choc de l’arbitraire, choc de la corruption, choc du despotisme, choc du mensonge, choc du chantage, choc de l’injustice, choc de la dissuasion, choc de la force, choc de l’absolutisme, choc de la dictature, choc de la ruse, choc de la partialité, choc de la tromperie, … Oust ! J’en passe !
Le Sénégal est pris en otage par l’exécutif, la justice politique et la police politique. Ces derniers agissent ensemble par ruse pour éliminer systématiquement les opposants au régime en place. Ce pseudo-trio ne sait ni techniciser la politique, ni politiser la technique. Ils ne sont là que pour faire des combines malsaines sur le dos d’honnêtes citoyens, et se partagent les ressources du pays. Le Sénégal va très mal avec ce trio machiavélique. Les procès, les purges, le contrôle de l’information, la terreur, le règne de la force et de l’intimidation exercés par l’exécutif, la justice politique et la police politique sur les opposants pour les museler doivent s’arrêter sans délai puisque contraire a l’Etat de droit et à la démocratie.
C’est un artefact que de voir de nobles et dignes fils du Sénégal (Khalifa Sall, Bamba Fall, Barthélémy Dias, …) arrêtés par l’exécutif, la justice politique et la police politique. Ces opposants n’ont rien à faire en prison. Ils n’ont fait que réclamer de manière factuelle leur droit qu’est le départ de l’incompétent Tanor DIENG, qui n’a aucune légitimité au sein même du Parti Socialiste. Oui cet homme est le malheur du Parti Socialiste et du Sénégal.
Il ne peut strictement rien apporter ni au Parti socialiste, ni au Sénégal. Il n’est là que pour bénéficier de l’argent du contribuable Sénégalais en marchandant le Parti socialiste à l’APR. Il est grand temps que le Parti Socialiste soit dirigé par une autorité beaucoup plus crédible et légitime que Tanor Dieng. Les combines de ce dernier avec l’exécutif, la justice politique et la police politique suivent une trajectoire dictatoriale. N’est-ce pas Benito Mussolini qui disait : «Tout dans l’Etat, rien contre l’Etat, rien en dehors de l’Etat ?» C’est exactement ce qu’appliquent ces derniers.
Toute personne s’opposant au pouvoir en place est systématiquement arrêtée et emprisonnée. Alors que la pierre angulaire même de toute grande démocratie nécessite la présence claire et soutenue de deux grands Partis. Ce qui n’est pas le cas actuellement au Sénégal. Le pouvoir en place élimine crescendo les opposants. La dictature rampante exercée par l’exécutif, la justice politique et la police politique est visible partout dans le pays.
Les membres du Parti au pouvoir détiennent le monopole absolu des moyens de communication. Ces derniers occupent les postes à responsabilité dans le pays. Sans compter les interdictions des manifestations, les incarcérations arbitraires, les organisations de procès factices, la destruction de l’opposition légale, … Bref une ambigüité sur la séparation des pouvoirs et une démocratie de façade visant à capter la bienveillance internationale.
L’arrestation du digne et noble fils du Sénégal sera un effet pervers pour le pouvoir en place. Macky Sall doit intérioriser dans sa conscience discursive qu’il a créé plus de 14 millions de Khalifa Sall en emprisonnant arbitrairement le maire légitime de la ville de Dakar. Il ne faut surtout pas que l’exécutif, la justice politique et la police politique prennent les Sénégalais pour des moutons de panurges.
Le procès intenté au maire de Dakar est strictement politique. Les Sénégalais sont face à une justice à deux vitesses. D’ailleurs, où sont les affaires Petro-Tim, Béthio avec deux Sénégalais froidement exécutés, l’un enterré vivant, Thione Dollard avec des millions de faux billets, Hôtel du Lamantin Beach, Lonase, les milliards de Taïwan ? … J’en passe ! (NAFEKH GUI DAFA DOYE).
Vous n’avez rien d’autre à faire que de vous acharner sur un digne et noble fils du pays ? Khalifa SALL vous a tenu tête et vous a battu partout, c’est la raison pour laquelle vous l’avez arrêté et emprisonné arbitrairement. Si vous souhaitez travailler honnêtement, je vous conseille vivement de consacrer votre temps de manière factuelle sur les affaires citées ci-dessus.
In fine, je dirais volontiers qu’un réveil national est plus que nécessaire pour mettre fin à cette dictature rampante, à la politique politicienne et au scandale tsunamique du siècle qu’est l’emprisonnement arbitraire de Khalifa SALL avant que le Sénégal ne sombre dans le chaos.
A bon entendeur salut !
NGOM EL HADJI ABASSE
Diplômé en science politique à la faculté de droit et de science politique de Montpellier (France). Mail : alajiass@live.fr