Les auteurs de l’attaque de Boffa sont avertis. L’Armée et la gendarmerie sont à leurs trousses. «Les opérations enclenchées depuis samedi se poursuivent. Les enquêteurs aussi sont à pied d’œuvre», a indiqué le Chef d’État-major des armées (Cemga), qui a fait face à la presse à Ziguinchor, pour faire le point de l’action de ses hommes dans la zone du drame qui a coûté la vie à 14 personnes.
Cheikh Guèye effectuait une visite de 24 heures dans la capitale sud du pays. «J’ai parlé à mes hommes, je les ai encouragés et leur ai rappelé leur mission qui est d’assurer la libre circulation des personnes et de leurs biens. J’ai eu aussi à rassurer la population sur la raison de notre présence, qui est de leur permettre de vaquer paisiblement à leurs occupations», a-t-il détaillé.
«C’est une opération particulière, a ajouté le Cemga. Ils (assaillants) ont commis un acte odieux. Quels que soient les auteurs, ils seront traqués, recherchés, neutralisés. Ce qui est important pour nous, c’est au-delà de ces criminels qui ont eu à commettre cet acte, de nettoyer cette zone pour que les populations puissent faire normalement leur travail.»
Quid de l’identité des malfaiteurs ? Le général Guèye refuse de s’avancer. «Je ne pense à personne», a-t-il dégagé en touche.
Cheikh Guèye effectuait une visite de 24 heures dans la capitale sud du pays. «J’ai parlé à mes hommes, je les ai encouragés et leur ai rappelé leur mission qui est d’assurer la libre circulation des personnes et de leurs biens. J’ai eu aussi à rassurer la population sur la raison de notre présence, qui est de leur permettre de vaquer paisiblement à leurs occupations», a-t-il détaillé.
«C’est une opération particulière, a ajouté le Cemga. Ils (assaillants) ont commis un acte odieux. Quels que soient les auteurs, ils seront traqués, recherchés, neutralisés. Ce qui est important pour nous, c’est au-delà de ces criminels qui ont eu à commettre cet acte, de nettoyer cette zone pour que les populations puissent faire normalement leur travail.»
Quid de l’identité des malfaiteurs ? Le général Guèye refuse de s’avancer. «Je ne pense à personne», a-t-il dégagé en touche.