la régression démocratique du Sénégal est deplorable en faissant regference a ce qu il qualifie de "barrage à un candidat pour se présenter à une élection". "C’est dommage parce que la compétition, elle est démocratique. Les sénégalais ont le droit de choisir qui ils veulent. Je peux peut être me tromper mais ils ne le laisseront pas se présenter ».
L’ancien patron de l’ONAS devenu aujourd’hui membre de la coordination et du suivi des programmes du PASTEF declare que la dissolution de la CENA est un signal qui est très fort du pouvoir qui veut aller jusqu’au bout pour empêcher à Ousmane Sonko de se présenter.
"C’est très dommage qu’on en arrive à cette situation. Maintenant, il faut réfléchir sur les alternatives possibles à déployer. Il y a un mois j’avais entendu Ismaila Madior Fall dire qu’Ousmane Sonko n’est pas sur les listes électorales. Ce qui veut dire, selon lui, qu’il ne peut être candidat. Il faut que la justice se fasse. La justice s’est faite avec le juge de Ziguinchor qui a annulé la radiation et la DAF qui a réintégré Ousmane Sonko. Et enfin avec la CENA qui a demandé à la DGE de remettre les fiches de parrainage au mandataire d’Ousmane Sonko. Un fonctionnaire de la Direction générale des élections a refusé d’exécuter la décision ».