Menu



“Remerciements et Appel à l’Engagement pour un Avenir Républicain” Serigne Bassirou Mbacké Abdou Khadr Mbacké: "Il est impossible d’implanter une école publique française dans le périmètre du titre foncier de Touba" Asphixie de la presse: la CAP tire la sonnette d'alarme Qui veut tuer la presse sénégalaise? Limogeage de Cheikh Dieng : la version du délégué du personnel de l'ONAS 𝑹𝒆𝒕𝒐𝒖𝒓 𝒔𝒖𝒓 𝒎𝒂 𝒗𝒊𝒔𝒊𝒕𝒆 𝒄𝒉𝒆𝒛 𝒍'𝒂𝒓𝒄𝒉𝒆𝒗𝒆̂𝒒𝒖𝒆 𝒅𝒆 𝑫𝒂𝒌𝒂𝒓, 𝑴𝒐𝒏𝒔𝒆𝒊𝒈𝒏𝒆𝒖𝒓 𝑩𝒆𝒏𝒋𝒂𝒎𝒊𝒏 𝑵𝑫𝑰𝑨𝒀𝑬 𝒔𝒖𝒓 𝒊𝒏𝒔𝒕𝒓𝒖𝒄𝒕𝒊𝒐𝒏 𝒅𝒖 𝑷𝒓𝒆𝒎𝒊𝒆𝒓 𝑴𝒊𝒏𝒊𝒔𝒕𝒓𝒆 𝑶𝒖𝒔𝒎𝒂𝒏𝒆 𝑺𝒐𝒏𝒌𝒐. Dr Aminata Sarr, directrice de la Télédiffusion du Sénégal (Tds-Sa), relève la vétusté des infrastructures et les besoins financiers nécessaires à leur renouvellement La Ligue des Imams défend Sonko: "Le Premier ministre est soucieux de notre vivre-ensemble suivant nos propres modèles et références" Monseigneur André Guèye, évêque de Thies sur le voile à l'école: "nous voulons plus de respect et de justice, nous revendiquons la liberté de mener nos activités"  Voile à l'école: Le Conseil national du Laïcat indigné par les "declarations maladroites" de Sonko

L'essentiel


google.com, pub-1148023042834496, DIRECT, f08c47fec0942fa0


La société Itoc Sa sursoit au blocage des comptes de la Senelec

SOCIETE
Samedi 8 Janvier 2022

La société Itoc Sa sursoit au blocage des comptes de la Senelec
La société Itoc Sa a décidé de surseoir au blocage des comptes de la Senelec. L’annonce est de son conseil, Me Alassane Cissé.

«Suite aux différentes informations et commentaires publiés au Sénégal ces derniers jours par la presse écrite et celle en ligne, la société Itoc-sa a décidé, après concertation avec la Senelec, de surseoir à la saisie conservatoire des créances détenues par Senelec sur ses clients auprès des banques de la place », renseigne Me Alassane Cissé dans un communiqué .

En conséquence, «la société Itoc-sa, par cette décision, ne pourrait être associée, ni aujourd’hui ni demain à d’éventuelles perturbations de fourniture d’électricité dans notre pays », précise l’avocat.

Pour rappel, « le contentieux entre les deux parties a porté, selon Senelec, sur la qualité du combustible (fuel oil 380 Cst) livré en juin 2010 par Itoc-sa et a fait l’objet d’un arbitrage, au mois de novembre 2018, auprès du tribunal arbitral de la Chambre de commerce internationale de Paris (Cci), ceci conformément aux termes du contrat signé le 01 mars 2010 entre les deux parties. En effet, dans le contrat entre les deux parties, il est précisé dans l’article 11-droit applicable : «Que tout litige pouvant survenir à l’occasion de sa signature ou de son exécution et qui ne sera pas réglé à l’amiable sera résolu par voie d’arbitrage selon les règles de la Chambre de commerce internationale de Paris par un ou plusieurs arbitres nommés conformément à ce règlement : l’arbitrage aura lieu à Paris, la langue d’arbitrage le français et les arbitres statueront en droit sans faculté d’appel ». La sentence arbitrale entre les deux parties a été rendue en faveur de la société Itoc-sa le 04 février 2019 à Paris », souligne l’avocat d’Itoc Sa.

Nouveau commentaire :

POLITIQUE | ECONOMIE | SOCIETE | CULTURE | SPORT | INTERNATIONAL | PEOPLE | TV & RADIO | TRIBUNE LIBRE | CONFIDENTIEL | COUP DE COEUR | COUP DE GUEULE | PORTRAIT | LETTRE DU JOUR | VU SUR FACEBOOK | FAITS DIVERS | INSOLITE | ILS ONT OSE LE DIRE | MEDIAS | EDITORIAL | COMMUNIQUE | NECROLOGIE | PUBLIREPORTAGE | NTIC | SANTE | JUSTICE | DIPLOMATIE | DIPLOMATIE | GUEST EDITORIALISTE | ENVIRONNEMENT | INSTITUTIONS | RELIGION | EDUCATION | AGRICULTURE | PAROLE DE CAMPAGNE | Antivirus, la chronique d'Abdoulaye Der | COVID-19 | KEEMTAAN GI | Echos des Locales 2022