Par Serigne Fallou Dieng
Pourtant la franc-maçonnerie est symbolique. Sa démonstration est symbolique. Elle s'est fait parler d'elle en laissant libre cour les fantasmes et les commentaires les plus fous. Cependant, elle n'a ni enregistré ni noté une réprobation de la part d'un grand état-major confrérique. Malgré le fait que l'effigie de la grande mosquée de Touba et celle de la mosquée de la Divinité aient étés représentée dans le site.
(adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); Cette association maçonnique africaine est affiliée à la grande loge nationale française (GLNF) qui est une obédience essentiellement de la droite française contrairement à celle de grand Orient de France (GODF) qui est majoritairement de gauche.
Donc cette alliance maçonnique africaine n'est qu'un avatar spéculatif de la France-Afrique. Donc la maçonnerie politique n'est qu'un leurre pour les Africains. Elle prétend permettre aux impétrants initiés de s'instruire sur des secrets traditionnels et primitifs mais au fond, il n'en est rien. On pourrait même se fourvoyer dans les rites écossais anciens et acceptés (REAA) ou bien rite écossais rectifié (RER), Memphis Misraïm, les planches Rosicruciennes, les épigrammes du druidisme. On y trouverait bien de la philosophie spéculative, de la spiritualité opératoire de haute gamme et de toutes sortes de thèses humanistes et on s'y perd.
Mais c'est dans cette ère de débandade soufie et du retour en force du nouveau paganisme comme substitut du soufisme traditionnel africain que la maçonnerie française, elle aussi en tant que substitut du Martinisme, cherche à initier les Africains.
En tout cas, l'islam en général et le soufisme en particulier ne sont compatibles avec la franc-maçonnerie.
Cette alliance africaine n'est pas ni maçonnerie spéculative ni celle symphonique. Mais elle est en réalité un ersatz de pratique politico- maçonniques en vue d'une "nouvelle réinvention spéculative" de la France-Afrique. Donc un miroir aux alouettes pour tromper les esprits niais et curieux des Africain. Bref, la rencontre de Dakar est une pure provocation pour sonder le terrain et rameuter la galerie.
Pourtant la franc-maçonnerie est symbolique. Sa démonstration est symbolique. Elle s'est fait parler d'elle en laissant libre cour les fantasmes et les commentaires les plus fous. Cependant, elle n'a ni enregistré ni noté une réprobation de la part d'un grand état-major confrérique. Malgré le fait que l'effigie de la grande mosquée de Touba et celle de la mosquée de la Divinité aient étés représentée dans le site.
(adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); Cette association maçonnique africaine est affiliée à la grande loge nationale française (GLNF) qui est une obédience essentiellement de la droite française contrairement à celle de grand Orient de France (GODF) qui est majoritairement de gauche.
Donc cette alliance maçonnique africaine n'est qu'un avatar spéculatif de la France-Afrique. Donc la maçonnerie politique n'est qu'un leurre pour les Africains. Elle prétend permettre aux impétrants initiés de s'instruire sur des secrets traditionnels et primitifs mais au fond, il n'en est rien. On pourrait même se fourvoyer dans les rites écossais anciens et acceptés (REAA) ou bien rite écossais rectifié (RER), Memphis Misraïm, les planches Rosicruciennes, les épigrammes du druidisme. On y trouverait bien de la philosophie spéculative, de la spiritualité opératoire de haute gamme et de toutes sortes de thèses humanistes et on s'y perd.
Mais c'est dans cette ère de débandade soufie et du retour en force du nouveau paganisme comme substitut du soufisme traditionnel africain que la maçonnerie française, elle aussi en tant que substitut du Martinisme, cherche à initier les Africains.
En tout cas, l'islam en général et le soufisme en particulier ne sont compatibles avec la franc-maçonnerie.
Cette alliance africaine n'est pas ni maçonnerie spéculative ni celle symphonique. Mais elle est en réalité un ersatz de pratique politico- maçonniques en vue d'une "nouvelle réinvention spéculative" de la France-Afrique. Donc un miroir aux alouettes pour tromper les esprits niais et curieux des Africain. Bref, la rencontre de Dakar est une pure provocation pour sonder le terrain et rameuter la galerie.