La Coordination PS de France a appris avec stupeur par voie de presse l'exclusion de soixante-cinq camarades du parti par l'homme politique le plus détesté de l'histoire du Sénégal: Ousmane Tanor Dieng. Le moment choisi pour prendre cette décision révèle au grand jour sa complicité agissante avec Macky Sall dans la cabale ourdie contre le camarade Khalifa Ababacar Sall, Député-Maire de Dakar.
(adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); Par cette décision cynique, la Direction du parti perd tout sens de la responsabilité, de la camaraderie et de la solidarité légendaires au socialisme.
L'exclusion de camarades, parmi les plus légitimes, les plus représentatifs, sonne comme un trait caractéristique de plus, de l'ère Ousmane Tanor Dieng marquée par l'élimination de plusieurs générations d'éminents responsables rendant la présence du parti insignifiante dans plusieurs localités avec son corolaire d'échecs électoraux retentissants.
La vie du parti, depuis l'avènement de Ousmane Tanor Dieng, est l'exacte contre-pied de la méthode de Senghor, faite d'aiguillon de la contradiction au plan interne et de dialogue avec les partis politiques adverses ou alliés, pour aboutir à des symbioses éclairées et des compromis dynamiques, qui se sont traduits par des unions fortes, des adhésions de grandes personnalités, des réconciliations et des succès historiques.
La préservation d'intérêts crypto-personnels a supplanté l'idéal de servir le pays en mettant en relief les principes et les valeurs. La prise en compte des masses laborieuses constituant un point d'achoppement entre Senghor et Lamine Gueye, dans l'orientation des activités de la SFIO, justifiant la naissance du BDS après la rupture, s'effiloche dans le parti socialiste d'aujourd'hui. En lieu et place, le nombre de ministres, de députés, de présidents de conseil d'administration (PCA), de directions.....enfin le Haut Conseil des Collectivités Territoriales.
L'arrimage du Parti à l'APR se fait au mépris des dispositions statutaires et réglementaires par le refus obstiné de convoquer les instances habilitées à prendre des décisions dans le but de conforter la place du PS dans une coalition bâtie non pas sur un programme commun, mais sur le partage du gâteau.
Un homme capable d'ignorer la loi, en refusant de faire la déclaration de son patrimoine, peut ignorer les statuts et règlement intérieur d'un parti, sous les applaudissements de ses affidés.
La discipline de parti n'est pas l'unanimisme et le culte de la personne qui conduisent au centralisme.
De «si chacun gagne chez lui, on gagne partout» on en arrive à «personne ne gagne chez lui, on perd partout» à l'exception de quelques camarades dont les plus charismatiques : Khalifa Ababacar Sall et Aïssata Tall Sall.
La Coordination PS de France exprime sa solidarité à tous les camarades visés par cette décision dommageable et indigne, qu'elle qualifie de haute trahison ;
Réaffirme son ancrage au socialisme démocratique théorisé par Léopold Sédar Senghor ;
Réitère son soutien au camarade Khalifa Ababacar Sall dans l'épreuve injuste qu'il traverse ;
Considère comme nulle et non avenue l'exclusion illégale et illégitime des Camarades.
La Coordination PS de France.
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L'exclusion de camarades, parmi les plus légitimes, les plus représentatifs, sonne comme un trait caractéristique de plus, de l'ère Ousmane Tanor Dieng marquée par l'élimination de plusieurs générations d'éminents responsables rendant la présence du parti insignifiante dans plusieurs localités avec son corolaire d'échecs électoraux retentissants.
La vie du parti, depuis l'avènement de Ousmane Tanor Dieng, est l'exacte contre-pied de la méthode de Senghor, faite d'aiguillon de la contradiction au plan interne et de dialogue avec les partis politiques adverses ou alliés, pour aboutir à des symbioses éclairées et des compromis dynamiques, qui se sont traduits par des unions fortes, des adhésions de grandes personnalités, des réconciliations et des succès historiques.
La préservation d'intérêts crypto-personnels a supplanté l'idéal de servir le pays en mettant en relief les principes et les valeurs. La prise en compte des masses laborieuses constituant un point d'achoppement entre Senghor et Lamine Gueye, dans l'orientation des activités de la SFIO, justifiant la naissance du BDS après la rupture, s'effiloche dans le parti socialiste d'aujourd'hui. En lieu et place, le nombre de ministres, de députés, de présidents de conseil d'administration (PCA), de directions.....enfin le Haut Conseil des Collectivités Territoriales.
L'arrimage du Parti à l'APR se fait au mépris des dispositions statutaires et réglementaires par le refus obstiné de convoquer les instances habilitées à prendre des décisions dans le but de conforter la place du PS dans une coalition bâtie non pas sur un programme commun, mais sur le partage du gâteau.
Un homme capable d'ignorer la loi, en refusant de faire la déclaration de son patrimoine, peut ignorer les statuts et règlement intérieur d'un parti, sous les applaudissements de ses affidés.
La discipline de parti n'est pas l'unanimisme et le culte de la personne qui conduisent au centralisme.
De «si chacun gagne chez lui, on gagne partout» on en arrive à «personne ne gagne chez lui, on perd partout» à l'exception de quelques camarades dont les plus charismatiques : Khalifa Ababacar Sall et Aïssata Tall Sall.
La Coordination PS de France exprime sa solidarité à tous les camarades visés par cette décision dommageable et indigne, qu'elle qualifie de haute trahison ;
Réaffirme son ancrage au socialisme démocratique théorisé par Léopold Sédar Senghor ;
Réitère son soutien au camarade Khalifa Ababacar Sall dans l'épreuve injuste qu'il traverse ;
Considère comme nulle et non avenue l'exclusion illégale et illégitime des Camarades.
La Coordination PS de France.