Adjudant Ndiapaly Guèye
Madické Wade dans son livre « Destinée du mouridisme », à la page 17, mettait à nu les propagandes malsaines de Marty qui voulait que le mouridisme sombre, étonné qu’il était de la dimension que prenait cette communauté, nous dit ceci: « Et même s’il confond volontairement communisme et mouridisme, il ne peut voiler une réalité qui doit être définitivement assimilée comme quoi, qui tient les Mourides tient l’économie du pays et qui développe l’économie développe le Mouridisme.
Aujourd’hui cette réalité est plus évidente quand on sait que même la « bourse » dans les banques sénégalaises se ralentit à plus de 80% lors du Magal où tous les mourides sont à Touba. Elle se vérifie quand on sait que les plus riches sénégalais sont mourides, que les premiers sénégalais milliardaires sont mourides et que ce sont ces riches mourides qui financent la construction de la quasi-totalité des mosquées au Sénégal, et que ce sont ces mourides seuls qui aident le Gouvernement dans l’équipement des hôpitaux, dans la construction des routes et des écoles et dans l’entretien de la voirie dans les grandes villes. Et si Marty resurgissait aujourd’hui au Sénégal, il aurait changé ses appréciations sur ce phénomène qu’on percevait déjà à l’implantation du mouridisme». Les réalités auxquelles le monde entier fait face tous les jours sur l’opiniâtreté et l’ardeur au travail des fidèles mourides au Sénégal et dans la diaspora, étonnent au jour le jour.
En effet, des 1000 milliards de francs CFA que les sénégalais de la diaspora envoient au pays, 80% de cette manne financière vont à l’actif des talibés mourides. Aucune autre communauté religieuse, encore moins confrérique n’est capable de récolter en un temps record une aussi importante somme comme les dizaines de milliards qui auront été investis dans la construction d’un aussi bel ouvrage de la dimension de la Grande Mosquée MAZALIQAL JINANE. D’autres projets sont en chantier, notamment l’université Cheikh Ahmadou Bamba Mbacké, l’hôpital, l’assainissement de Touba, même les cimetières sont pris en compte dans ces projets.
Le mouridisme est une aubaine divine, une voie par laquelle le Sénégal en particulier, l’Afrique en général devraient s’inspirer pour se hisser à un niveau de développement jamais atteint par le continent. L’Afrique et les africains pour se libérer des chaînes de l’esclavage, ont l’impératif devoir de faire du travail, une religion, une forme de prière. Le culte du travail est la seule voie du salut pour l’Afrique, selon l’économiste Sogué Diarisso : « Aussi, armés de la doctrine du travail vécue dans sa plénitude par son exceptionnel disciple Cheikh Ibra Fall, seules les limites que nous donnerons à notre ambition pourraient fermer la porte de l’horizon infini qui s’offre à nous, sans risque de tomber dans certains travers, parce que nous savons que nous devons dompter ce monde pour en jouir et en faire profiter le plus de personnes possibles ».
LES CONFRÉRIES DU SÉNÉGAL : FER DE LANCE DANS LE REGLEMENT DÉFINITIF DE LA CRISE IDENTITAIRE EN AFRIQUE
Les fidèles répartis entre les communautés confrériques : Tidjianniyya : (Oumariens, Tivaouane, Médina Baye, Médina Gounass, Thiénéba, Ahloulahiya), Layèniyya, Mouridiyya, Khadriyya (Ndiassane, Nimzat), entre autres foyers religieux évoluant en Afrique, constituent une force de dissuasion indéniable pour la stabilité et le développement du continent. En effet, face à la progression dévastatrice terroriste dans certains pays de la sous-région, cette communauté confrérique dont le nombre ne cesse de croître, avoisinant quasiment le demi-milliard, pourrait constituer un rempart face à l’avancée et aux velléités obscures du wahhâbisme, hanbalisme et salafisme.
Ces forces obscures, montées de toute pièce par les ennemis de l’Afrique, continuent de véhiculer un dogme islamique d’un autre âge dans l’intention odieuse de fragiliser puis éradiquer nos confréries. C’est l’occasion d’encourager l’association islamique du Sénégal (A.I.S.), qui vient d’être portée sur les fonts baptismaux et qui regroupe toutes les confréries du pays, pour s’ériger en rempart à ces forces maléfiques salafistes. Cette association, une fois avoir atteint ses objectifs, pourrait forcément peser sur la balance pour venir à la rescousse d’une Oumma islamique, aujourd’hui confrontée à une problématique identitaire qui continue d’affaiblir et ternir l’image naguère reluisante des musulmans. Le triste sort des musulmans de la Birmanie Rohyngyas, Palestiniens, pays de l’Est, Syriens, Croates musulmans, de la Chine, du Yémen, d’Irak, d’Afghanistan, de l’Inde, de la Centrafrique, du Nigéria, d’Europe, d’Amérique, qui continuent de souffrir de leur isolement, pris qu’ils sont dans un étau infernal, est plus que déplorable. Une telle posture, devrait susciter beaucoup d’interrogations dans un monde islamique qui continue de souffrir le martyr de la division exacerbée par des incompréhensions et des divergences dans l’interprétation des textes coraniques et traditionnels, qui continuent de fragiliser le monde islamique.
Aujourd’hui cette réalité est plus évidente quand on sait que même la « bourse » dans les banques sénégalaises se ralentit à plus de 80% lors du Magal où tous les mourides sont à Touba. Elle se vérifie quand on sait que les plus riches sénégalais sont mourides, que les premiers sénégalais milliardaires sont mourides et que ce sont ces riches mourides qui financent la construction de la quasi-totalité des mosquées au Sénégal, et que ce sont ces mourides seuls qui aident le Gouvernement dans l’équipement des hôpitaux, dans la construction des routes et des écoles et dans l’entretien de la voirie dans les grandes villes. Et si Marty resurgissait aujourd’hui au Sénégal, il aurait changé ses appréciations sur ce phénomène qu’on percevait déjà à l’implantation du mouridisme». Les réalités auxquelles le monde entier fait face tous les jours sur l’opiniâtreté et l’ardeur au travail des fidèles mourides au Sénégal et dans la diaspora, étonnent au jour le jour.
En effet, des 1000 milliards de francs CFA que les sénégalais de la diaspora envoient au pays, 80% de cette manne financière vont à l’actif des talibés mourides. Aucune autre communauté religieuse, encore moins confrérique n’est capable de récolter en un temps record une aussi importante somme comme les dizaines de milliards qui auront été investis dans la construction d’un aussi bel ouvrage de la dimension de la Grande Mosquée MAZALIQAL JINANE. D’autres projets sont en chantier, notamment l’université Cheikh Ahmadou Bamba Mbacké, l’hôpital, l’assainissement de Touba, même les cimetières sont pris en compte dans ces projets.
Le mouridisme est une aubaine divine, une voie par laquelle le Sénégal en particulier, l’Afrique en général devraient s’inspirer pour se hisser à un niveau de développement jamais atteint par le continent. L’Afrique et les africains pour se libérer des chaînes de l’esclavage, ont l’impératif devoir de faire du travail, une religion, une forme de prière. Le culte du travail est la seule voie du salut pour l’Afrique, selon l’économiste Sogué Diarisso : « Aussi, armés de la doctrine du travail vécue dans sa plénitude par son exceptionnel disciple Cheikh Ibra Fall, seules les limites que nous donnerons à notre ambition pourraient fermer la porte de l’horizon infini qui s’offre à nous, sans risque de tomber dans certains travers, parce que nous savons que nous devons dompter ce monde pour en jouir et en faire profiter le plus de personnes possibles ».
LES CONFRÉRIES DU SÉNÉGAL : FER DE LANCE DANS LE REGLEMENT DÉFINITIF DE LA CRISE IDENTITAIRE EN AFRIQUE
Les fidèles répartis entre les communautés confrériques : Tidjianniyya : (Oumariens, Tivaouane, Médina Baye, Médina Gounass, Thiénéba, Ahloulahiya), Layèniyya, Mouridiyya, Khadriyya (Ndiassane, Nimzat), entre autres foyers religieux évoluant en Afrique, constituent une force de dissuasion indéniable pour la stabilité et le développement du continent. En effet, face à la progression dévastatrice terroriste dans certains pays de la sous-région, cette communauté confrérique dont le nombre ne cesse de croître, avoisinant quasiment le demi-milliard, pourrait constituer un rempart face à l’avancée et aux velléités obscures du wahhâbisme, hanbalisme et salafisme.
Ces forces obscures, montées de toute pièce par les ennemis de l’Afrique, continuent de véhiculer un dogme islamique d’un autre âge dans l’intention odieuse de fragiliser puis éradiquer nos confréries. C’est l’occasion d’encourager l’association islamique du Sénégal (A.I.S.), qui vient d’être portée sur les fonts baptismaux et qui regroupe toutes les confréries du pays, pour s’ériger en rempart à ces forces maléfiques salafistes. Cette association, une fois avoir atteint ses objectifs, pourrait forcément peser sur la balance pour venir à la rescousse d’une Oumma islamique, aujourd’hui confrontée à une problématique identitaire qui continue d’affaiblir et ternir l’image naguère reluisante des musulmans. Le triste sort des musulmans de la Birmanie Rohyngyas, Palestiniens, pays de l’Est, Syriens, Croates musulmans, de la Chine, du Yémen, d’Irak, d’Afghanistan, de l’Inde, de la Centrafrique, du Nigéria, d’Europe, d’Amérique, qui continuent de souffrir de leur isolement, pris qu’ils sont dans un étau infernal, est plus que déplorable. Une telle posture, devrait susciter beaucoup d’interrogations dans un monde islamique qui continue de souffrir le martyr de la division exacerbée par des incompréhensions et des divergences dans l’interprétation des textes coraniques et traditionnels, qui continuent de fragiliser le monde islamique.
LA RÉCOMPENSE DU PROPHÈTE (Psl) À L’AFRIQUE À TRAVERS BILAL ET LE NEGUS
L’Islam ne se limite pas dans un cercle restreint circonscrit entre l’Arabie et l’Orient : L’Afrique a toujours joué sa partition dès l’avènement de l’appel de Seydina Mahometh (Psl). Cette terre africaine à partir de l’Ethiopie, a eu à héberger une bonne partie des nouveaux convertis à l’Islam qui étaient pourchassés, torturés par leurs frères et sœurs arabes de la Mecque. Mahomet (Psl), a toujours voué un respect et une considération immodérés envers Bilal et le Négus, Roi d’Ethiopie, chrétien de surcroit.
Bilal, esclave affranchi, aura été le premier musulman à faire l’appel à la prière, libérant et officialisant ainsi une nouvelle religion qui allait plus tard bouleverser le monde entier. Quant au Négus, son hospitalité, son audace, son sens de responsabilité et d’écoute auront été déterminants dans l’expansion de l’Islam. L’Afrique, à travers son passé ne doit pas continuer à avoir une posture de wagons accrochés les uns contre les autres et se faisant sempiternellement tirer par une tête de locomotive arabe ou orientale pour les faire jouer les seconds rôles dans les hautes instances de décisions islamiques.
Cheikh Ahmadou Bamba Mbacké l’aura très vite compris en se forgeant dès le départ d’une forte personnalité grâce à une foi incommensurable et des connaissances dogmatiques indubitables, avec lesquelles, il aura réussi à conquérir les cœurs et les esprits de l’humanité toute entière, forçant ainsi le respect autour de sa personne et de sa communauté. En effet, chaque Magal ou 18 Safar correspondant à l’anniversaire de son départ en exil le 5 septembre 1895 au Gabon, le monde entier est réuni à Touba. Prétexte de cette rencontre, glorifier Dieu qui l’aura sauvé de toutes ces épreuves qu’aucune des créatures ne saurait supporter et pardonner ses détracteurs et ses tortionnaires et enfin partager avec les pauvres ses bienfaits.
Forces mobilisatrices dans l’aboutissement de la paix, de la cohésion sociale, les confréries du Sénégal peuvent jouer un rôle important dans la quête de solution aux problèmes auxquels l’Islam fait face en ce 21ème siècle. Les colporteurs ou marchands d’illusions qui continuent de convaincre une jeunesse constituée d’une force vitale pour un continent toujours à la traine sur les plans socio-économiques, éducationnels, sanitaires et sécuritaires en les recrutant comme jihadistes, ne sauraient bénéficier d’une liberté de manœuvre pour continuer à prospérer et perdurer dans leurs actions de fragilisation de nos institutions. C’est là où le Sénégal réussira à gagner le pari tant convoité par d’autres pays, lesquels, difficilement, croyaient à l’exception sénégalaise à travers ses confréries. N’est-ce pas le moment pour eux de se rendre à l’évidence ?
L’Islam ne se limite pas dans un cercle restreint circonscrit entre l’Arabie et l’Orient : L’Afrique a toujours joué sa partition dès l’avènement de l’appel de Seydina Mahometh (Psl). Cette terre africaine à partir de l’Ethiopie, a eu à héberger une bonne partie des nouveaux convertis à l’Islam qui étaient pourchassés, torturés par leurs frères et sœurs arabes de la Mecque. Mahomet (Psl), a toujours voué un respect et une considération immodérés envers Bilal et le Négus, Roi d’Ethiopie, chrétien de surcroit.
Bilal, esclave affranchi, aura été le premier musulman à faire l’appel à la prière, libérant et officialisant ainsi une nouvelle religion qui allait plus tard bouleverser le monde entier. Quant au Négus, son hospitalité, son audace, son sens de responsabilité et d’écoute auront été déterminants dans l’expansion de l’Islam. L’Afrique, à travers son passé ne doit pas continuer à avoir une posture de wagons accrochés les uns contre les autres et se faisant sempiternellement tirer par une tête de locomotive arabe ou orientale pour les faire jouer les seconds rôles dans les hautes instances de décisions islamiques.
Cheikh Ahmadou Bamba Mbacké l’aura très vite compris en se forgeant dès le départ d’une forte personnalité grâce à une foi incommensurable et des connaissances dogmatiques indubitables, avec lesquelles, il aura réussi à conquérir les cœurs et les esprits de l’humanité toute entière, forçant ainsi le respect autour de sa personne et de sa communauté. En effet, chaque Magal ou 18 Safar correspondant à l’anniversaire de son départ en exil le 5 septembre 1895 au Gabon, le monde entier est réuni à Touba. Prétexte de cette rencontre, glorifier Dieu qui l’aura sauvé de toutes ces épreuves qu’aucune des créatures ne saurait supporter et pardonner ses détracteurs et ses tortionnaires et enfin partager avec les pauvres ses bienfaits.
Forces mobilisatrices dans l’aboutissement de la paix, de la cohésion sociale, les confréries du Sénégal peuvent jouer un rôle important dans la quête de solution aux problèmes auxquels l’Islam fait face en ce 21ème siècle. Les colporteurs ou marchands d’illusions qui continuent de convaincre une jeunesse constituée d’une force vitale pour un continent toujours à la traine sur les plans socio-économiques, éducationnels, sanitaires et sécuritaires en les recrutant comme jihadistes, ne sauraient bénéficier d’une liberté de manœuvre pour continuer à prospérer et perdurer dans leurs actions de fragilisation de nos institutions. C’est là où le Sénégal réussira à gagner le pari tant convoité par d’autres pays, lesquels, difficilement, croyaient à l’exception sénégalaise à travers ses confréries. N’est-ce pas le moment pour eux de se rendre à l’évidence ?