L’Ordre National des médecins du Sénégal est enfin sorti de son mutisme, sur le cas du Dr Alfousseyni Gaye, médecin spécialiste en gynécologie-obstétrique, qui a été réquisitionné dans le cadre de l’affaire Sweet Beauté pour un avis médical. Depuis lors, il estime être dans une situation inconfortable du fait de menaces et harcèlements qu'il subit. En effet, le médecin spécialiste en gynécologie dit avoir été victime, depuis le démarrage de la procédure judiciaire, « d'actes d'intimidation répétés », dont il a fait état à l'occasion d'une interview à la chaîne Kewoulo de Babacar Touré à la date du 21 décembre 2022.
Dans un communiqué rendu public cet après-midi, l’Ordre des médecins du Sénégal annonce que « des actions concrètes sont en cours pour assurer à ce confrère un environnement adéquat pour la pratique de son art, conformément aux dispositions de l'article 4 du Code de Déontologie Médicale », qui prévoient qu’« en aucun cas, le médecin ne doit exercer sa profession dans des conditions qui puissent compromettre la qualité des soins et des actes médicaux. Le Directeur de la Santé publique est habilité à s'assurer des conditions dans lesquelles sont effectués les soins et les actes médicaux », a-t- il annoncé.
Toutefois, l’Ordre des médecins précise que, « le Dr Alfousseyni Gaye a bénéficié dès le début de cette affaire de l'accompagnement de l'Ordre National des Médecins du Sénégal (ONMS) et a été reçu à son siège à plusieurs reprises. Face à cette situation, l'ONMS lui réitère son soutien et l'accompagnement dans toutes actions qu'il sera nécessaire de mener ». Par ailleurs, l'ONMS, garant de l'exercice de la médecine « exhorte l'État à assurer la sécurité d'un expert assermenté qui a été dûment réquisitionné pour les besoins d'une enquête », concluent le Dr Bolly Diop et ses camarades .
Dans un communiqué rendu public cet après-midi, l’Ordre des médecins du Sénégal annonce que « des actions concrètes sont en cours pour assurer à ce confrère un environnement adéquat pour la pratique de son art, conformément aux dispositions de l'article 4 du Code de Déontologie Médicale », qui prévoient qu’« en aucun cas, le médecin ne doit exercer sa profession dans des conditions qui puissent compromettre la qualité des soins et des actes médicaux. Le Directeur de la Santé publique est habilité à s'assurer des conditions dans lesquelles sont effectués les soins et les actes médicaux », a-t- il annoncé.
Toutefois, l’Ordre des médecins précise que, « le Dr Alfousseyni Gaye a bénéficié dès le début de cette affaire de l'accompagnement de l'Ordre National des Médecins du Sénégal (ONMS) et a été reçu à son siège à plusieurs reprises. Face à cette situation, l'ONMS lui réitère son soutien et l'accompagnement dans toutes actions qu'il sera nécessaire de mener ». Par ailleurs, l'ONMS, garant de l'exercice de la médecine « exhorte l'État à assurer la sécurité d'un expert assermenté qui a été dûment réquisitionné pour les besoins d'une enquête », concluent le Dr Bolly Diop et ses camarades .