Le énième appel au dialogue lancé par le chef de l’Etat, Macky Sall, lors de son adresse à la Nation le 31 décembre, tout comme la nomination d’une personnalité «neutre» en la personne de l’ambassadeur Seydou Nourou Ba à la tête du Comité de concertation sur le processus électoral, n’y ont rien fait. L’opposition dite «significative» n’est toujours pas présente à la table des concertations, lesquelles semblent grippées par la question du parrainage des candidats à la présidentielle.
(adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); Ou plutôt, elle ne sera jamais présente au dialogue au vu des positions toutes tranchées exprimées çà et là. C’est le cas avec le député et patron de Pastef/Les patriotes, Ousmane Sonko, qui pense que les nombreux appels au dialogue du chef de l’Etat, Macky Sall ne sont faits que pour amuser la galerie et faire bonne impression à l’opinion. Il ne cesse de ressasser d’ailleurs que l’opposition ne «fait pas confiance» au président de la République. Du côté du parti Rewmi, membre de Mts, l’on évoque aussi le manque de confiance. Dans une de ses sorties, le député de Mts, Déthié Fall, dit refuser de participer à «un semblant de consensus pour avaliser un coup d’Etat électoral».
(adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); Il reste formel sur l’impossibilité de dialoguer au moment où «le président de la République continue d’instrumentaliser la justice à des fins politiciennes pour justement écarter des adversaires politiques». Pour le Parti démocratique sénégalais (Pds), locomotive de la Coalition gagnante Wattu Senegaal, il y a un «manque de volonté politique» de la part du régime. Pour son Secrétaire national, Abdoulaye Wade, «Macky Sall parle de dialogue national, il dit qu’il veut dialoguer avec l’opposition, mais en réalité, on constate qu’il n’est pas dans l’attitude d’un homme qui veut dialoguer». Autant de rejets qui feront dire à certains observateurs de la sphère politique que le dialogue sur le processus électoral initié par le ministre de l’Intérieur, Aly Ngouille Ndiaye, sous la conduite de Seydou Nou
(adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); Ou plutôt, elle ne sera jamais présente au dialogue au vu des positions toutes tranchées exprimées çà et là. C’est le cas avec le député et patron de Pastef/Les patriotes, Ousmane Sonko, qui pense que les nombreux appels au dialogue du chef de l’Etat, Macky Sall ne sont faits que pour amuser la galerie et faire bonne impression à l’opinion. Il ne cesse de ressasser d’ailleurs que l’opposition ne «fait pas confiance» au président de la République. Du côté du parti Rewmi, membre de Mts, l’on évoque aussi le manque de confiance. Dans une de ses sorties, le député de Mts, Déthié Fall, dit refuser de participer à «un semblant de consensus pour avaliser un coup d’Etat électoral».
(adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); Il reste formel sur l’impossibilité de dialoguer au moment où «le président de la République continue d’instrumentaliser la justice à des fins politiciennes pour justement écarter des adversaires politiques». Pour le Parti démocratique sénégalais (Pds), locomotive de la Coalition gagnante Wattu Senegaal, il y a un «manque de volonté politique» de la part du régime. Pour son Secrétaire national, Abdoulaye Wade, «Macky Sall parle de dialogue national, il dit qu’il veut dialoguer avec l’opposition, mais en réalité, on constate qu’il n’est pas dans l’attitude d’un homme qui veut dialoguer». Autant de rejets qui feront dire à certains observateurs de la sphère politique que le dialogue sur le processus électoral initié par le ministre de l’Intérieur, Aly Ngouille Ndiaye, sous la conduite de Seydou Nou