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En dérogeant à une règle d’or de la diplomatie marocaine, mais non écrite, le ministère des Affaires étrangères a-t-il commis un faux pas en nommant en 2016 Abdelmalek Kettani, célibataire quinquagénaire endurci, ambassadeur du royaume en Côte d’Ivoire ?
En tout cas, les salons huppés d’Abidjan se gaussent à gorges déployées des liens de cœur du diplomate de Sa Majesté, avec Yââ Nso Thiam, fille d’Amadou Thiam, homme d’Etat ivoirien d’origine sénégalaise, devenu ministre de l’information, puis ambassadeur à Rabat à la fin des années 60.
Sa mère, Mariétou, issue d’une noble lignée de Yamoussoukro, est la nièce du président Félix Houphouët-Boigny. Son frère Tidjane, premier ivoirien à avoir poussé les portes de Polytechnique à Paris, avait été nommé en 1994, directeur du Bureau national d’études et de développement technique à Abidjan, chargé des grands travaux, par le président Henri Konan Bédié.
En 1998, le technocrate sera bombardé ministre de la planification. La situation politique instable dans le pays le forcera à rejoindre le privé à l’international, papillonnant de McKinsey à Aviva ou Prudential…
Autant dire que la peu discrète liaison de l’ambassadeur Kettani avec Yââ Nso, une enfant du sérail ivoirien, est particulièrement scrutée par les chancelleries. Leurs photos de couple disséminées sur les réseaux sociaux où on les voit déambuler à Paris à la Fondation Louis Vuitton ou en péniche sur la Seine, se partagent allègrement via WhatsApp, faisant grincer des dents les hautes sphères du président Ouattara qui voient d’un œil noir les frasques intimes du représentant de Mohammed VI étalées au grand jour.
« Une amourette malvenue », murmure-t-on, d’autant qu’approche à grands pas un rendez-vous crucial pour la diplomatie continentale et surtout marocaine : le Sommet Union Africaine-Union Européenne qu’accueillera Abidjan les 29 et 30 novembre prochains et pour lequel l’Algérie fourbit ses armes depuis Bruxelles sous la houlette de Amar Belani pour faire siéger coûte que coûte le Polisario aux côtés du Maroc.
Un baptême du feu pour Kettani. L’ancien d’HEC Montréal et de Georgetown, ayant fait l’essentiel de sa carrière dans le privé et la société civile, prête ainsi déjà le flanc à des piques assassines.
En tout cas, les salons huppés d’Abidjan se gaussent à gorges déployées des liens de cœur du diplomate de Sa Majesté, avec Yââ Nso Thiam, fille d’Amadou Thiam, homme d’Etat ivoirien d’origine sénégalaise, devenu ministre de l’information, puis ambassadeur à Rabat à la fin des années 60.
Sa mère, Mariétou, issue d’une noble lignée de Yamoussoukro, est la nièce du président Félix Houphouët-Boigny. Son frère Tidjane, premier ivoirien à avoir poussé les portes de Polytechnique à Paris, avait été nommé en 1994, directeur du Bureau national d’études et de développement technique à Abidjan, chargé des grands travaux, par le président Henri Konan Bédié.
En 1998, le technocrate sera bombardé ministre de la planification. La situation politique instable dans le pays le forcera à rejoindre le privé à l’international, papillonnant de McKinsey à Aviva ou Prudential…
Autant dire que la peu discrète liaison de l’ambassadeur Kettani avec Yââ Nso, une enfant du sérail ivoirien, est particulièrement scrutée par les chancelleries. Leurs photos de couple disséminées sur les réseaux sociaux où on les voit déambuler à Paris à la Fondation Louis Vuitton ou en péniche sur la Seine, se partagent allègrement via WhatsApp, faisant grincer des dents les hautes sphères du président Ouattara qui voient d’un œil noir les frasques intimes du représentant de Mohammed VI étalées au grand jour.
« Une amourette malvenue », murmure-t-on, d’autant qu’approche à grands pas un rendez-vous crucial pour la diplomatie continentale et surtout marocaine : le Sommet Union Africaine-Union Européenne qu’accueillera Abidjan les 29 et 30 novembre prochains et pour lequel l’Algérie fourbit ses armes depuis Bruxelles sous la houlette de Amar Belani pour faire siéger coûte que coûte le Polisario aux côtés du Maroc.
Un baptême du feu pour Kettani. L’ancien d’HEC Montréal et de Georgetown, ayant fait l’essentiel de sa carrière dans le privé et la société civile, prête ainsi déjà le flanc à des piques assassines.