«J’ai quelque fois honte si je ne suis pas hors de moi. Il n’y a pas d’élégance dans leurs discussions et pas plus d’intelligence dans leurs échanges, pointe-t-il. S’ils ne s’injurient pas, à la limite, ils versent dans les humiliations personnelles ou des attaques honteuses contre le camp adverse.
Leurs discours sont souvent vides de sens et leurs interventions ne sont pas constructives.»
Ouza n’a pas manqué d’égratigner le camp présidentiel notamment l’entourage du chef de l’État.
«Il suffit qu’une personne dise le contraire de ce que croit Macky ou l’Apr pour les voir partout en train de répondre ou donner des leçons.
Et, le plus souvent de façon maladroite, discourtoise et quelque fois choquante. Non, ce n’est pas cela la politique.»
Certains chefs religieux ont aussi été la cible de l’artiste révolutionnaire.
«On n’a presque plus de régulateurs sociaux.
Les descendants (des fondateurs des confréries au Sénégal) ne soutiennent plus le travail de leurs aïeux, ils se servent de leur aura. Non, cela n’est pas l’attitude d’un homme de Dieu.»
Leurs discours sont souvent vides de sens et leurs interventions ne sont pas constructives.»
Ouza n’a pas manqué d’égratigner le camp présidentiel notamment l’entourage du chef de l’État.
«Il suffit qu’une personne dise le contraire de ce que croit Macky ou l’Apr pour les voir partout en train de répondre ou donner des leçons.
Et, le plus souvent de façon maladroite, discourtoise et quelque fois choquante. Non, ce n’est pas cela la politique.»
Certains chefs religieux ont aussi été la cible de l’artiste révolutionnaire.
«On n’a presque plus de régulateurs sociaux.
Les descendants (des fondateurs des confréries au Sénégal) ne soutiennent plus le travail de leurs aïeux, ils se servent de leur aura. Non, cela n’est pas l’attitude d’un homme de Dieu.»