L'UMS tient vendredi une réunion à 15 heures pour peaufiner sa stratégie. Dans le journal l'As, le magistrat Teliko se dit déterminé à faire face. "Je reste persuadé qu’au-delà des motifs ci-dessus indiqués et qui me paraissent légers, il existe d’autres raisons non avouées, qui ont déterminé l’ouverture de cette enquête.
Mais en tout état de cause, que ceux qui pensent pouvoir, à travers cette procédure, me réduire au silence ou m’intimider, sachent qu’ils ont tapé à la mauvaise porte. Car je continuerai à exercer pleinement le rôle de représentant élu des magistrats au sein du Csm", déclare, serein, M. Teliko.