Le chef de file du mouvement Taxawu Senegaal, Khalifa Ababacar Sall peut compter sur un soutien de taille en vue de la prochaine élection présidentielle de février 2024. En effet, en l’issue de leur Assemblée générale du samedi 18 novembre 2023, les anciens des mouvements des jeunesses, étudiants, pionniers et arabisants socialistes ont décidé de porter la candidature de l’ancien maire de Dakar pour l’élection présidentielle de février 2024.
L’Amicale a tenu d’abord à souligner les qualités humaines de Khalifa Ababacar Sall, largement reconnues par les Sénégalais. Elle s’est engagée à l’accompagner dans la réalisation d’un «nouveau contrat social autour de l’humain».
Pour ces anciens socialistes, «Khalifa Sall incarne la figure capable de sauvegarder l’héritage socialiste, réconcilier la nation, rassurer les Sénégalais, reconstruire l’État de droit et ainsi contribuer à un Sénégal juste, solidaire et prospère». Khalifa Ababacar Sall qui s’est réjoui de cette adhésion à son projet de société, a dans son discours, rappelé son engagement politique, mettant en avant la particularité de Taxawu Senegaal. «Nous ne faisons pas de la politique pour nous-mêmes, nous avons des valeurs et des convictions. Nous nourrissons un idéal pour notre pays», a-t-il rappelé.
Il a souligné, au passage, que son entrée en politique était motivée par le partage d’une vision commune du Sénégal, héritée de figures influentes telles que Léopold Sédar Senghor, Abdoulaye Bathily, Abdoulaye Wade, Mahmouth Diop, entre autres, qui croyaient, dans leurs diverses appréciations et orientations, que le Sénégal est plus important que tout. «Nous ne sommes pas des politiciens, nous sommes des militants» a-t-il ajouté, en saluant l’exemple donné par les députés de Taxawu Senegaal lors du renouvèlement du bureau de l’Assemblée nationale, démontrant que les postes et les privilèges ne résistent pas à leurs convictions.
Khalifa Sall a appelé à rompre avec la politique de l’injure, de la menace, de l’invective et de la calomnie, plaidant pour un débat axé sur les projets et programmes. Le candidat de Taxawu Senegaal a exprimé sa conviction que Dieu a déjà choisi le prochain président du Sénégal, ajoutant avec confiance : «Inch’Allah, ce sera moi». Il a appelé à un débat orienté sur les projets et programmes, déclarant qu’il était bien placé pour diriger le Sénégal en raison de sa capacité à réconcilier les Sénégalais, apaiser les cœurs et parvenir à la cohésion sociale.
Dans la foulée, il a dévoilé les grands axes de son programme politique, mettant en avant la construction d’une Nation réconciliée, rassemblée, rassérénée, où chaque citoyen trouvera sa place. Il a exprimé son soutien aux détenus politiques, soulignant son engagement pour un Sénégal où personne ne sera emprisonné pour des opinions politiques. Enfin, le leader de Taxawu Senegaal a également souligné l’importance de l’humain, de l’eau et de la terre dans sa politique, visant à assurer l’autosuffisance alimentaire au Sénégal, avant d’affirmer que son mandat de cinq ans serait consacré au développement du pays, mettant l’accent au drame de l’émigration clandestine en redonnant confiance et espoir à la jeunesse sénégalaise.
L’Amicale a tenu d’abord à souligner les qualités humaines de Khalifa Ababacar Sall, largement reconnues par les Sénégalais. Elle s’est engagée à l’accompagner dans la réalisation d’un «nouveau contrat social autour de l’humain».
Pour ces anciens socialistes, «Khalifa Sall incarne la figure capable de sauvegarder l’héritage socialiste, réconcilier la nation, rassurer les Sénégalais, reconstruire l’État de droit et ainsi contribuer à un Sénégal juste, solidaire et prospère». Khalifa Ababacar Sall qui s’est réjoui de cette adhésion à son projet de société, a dans son discours, rappelé son engagement politique, mettant en avant la particularité de Taxawu Senegaal. «Nous ne faisons pas de la politique pour nous-mêmes, nous avons des valeurs et des convictions. Nous nourrissons un idéal pour notre pays», a-t-il rappelé.
Il a souligné, au passage, que son entrée en politique était motivée par le partage d’une vision commune du Sénégal, héritée de figures influentes telles que Léopold Sédar Senghor, Abdoulaye Bathily, Abdoulaye Wade, Mahmouth Diop, entre autres, qui croyaient, dans leurs diverses appréciations et orientations, que le Sénégal est plus important que tout. «Nous ne sommes pas des politiciens, nous sommes des militants» a-t-il ajouté, en saluant l’exemple donné par les députés de Taxawu Senegaal lors du renouvèlement du bureau de l’Assemblée nationale, démontrant que les postes et les privilèges ne résistent pas à leurs convictions.
Khalifa Sall a appelé à rompre avec la politique de l’injure, de la menace, de l’invective et de la calomnie, plaidant pour un débat axé sur les projets et programmes. Le candidat de Taxawu Senegaal a exprimé sa conviction que Dieu a déjà choisi le prochain président du Sénégal, ajoutant avec confiance : «Inch’Allah, ce sera moi». Il a appelé à un débat orienté sur les projets et programmes, déclarant qu’il était bien placé pour diriger le Sénégal en raison de sa capacité à réconcilier les Sénégalais, apaiser les cœurs et parvenir à la cohésion sociale.
Dans la foulée, il a dévoilé les grands axes de son programme politique, mettant en avant la construction d’une Nation réconciliée, rassemblée, rassérénée, où chaque citoyen trouvera sa place. Il a exprimé son soutien aux détenus politiques, soulignant son engagement pour un Sénégal où personne ne sera emprisonné pour des opinions politiques. Enfin, le leader de Taxawu Senegaal a également souligné l’importance de l’humain, de l’eau et de la terre dans sa politique, visant à assurer l’autosuffisance alimentaire au Sénégal, avant d’affirmer que son mandat de cinq ans serait consacré au développement du pays, mettant l’accent au drame de l’émigration clandestine en redonnant confiance et espoir à la jeunesse sénégalaise.