Cependant, malgré tous les rejets de leurs requêtes enregistrés devant cette juridiction suprême, Me Cissé, dit être confiant tout comme ses confrères de la défense. « Nous sommes toujours confiants parce que les lois que nous avons évoquées peuvent s’appliquer à ce dossier. Et nous avons demandé que les lois que nous avons indiquées soient appliquées. Si elle (La cour suprême) estime qu’on a raison qu’elle nous le dise. Et si elle est convaincue du contraire qu’elle nous le fasse savoir. Mais on a un recours. Si la chambre administrative nous rend une décision qui ne nous est pas favorable, nous pouvons revenir devant toutes les chambres réunies pour qu’on nous rejuge. Et nous ne comptons pas nous arrêter à Dakar. On peut aller à Abuja (Cour de justice de la Cedeao). Donc tous les recours qui sont possibles seront exercés.
Le procès n’est pas encore fini. Tout ce qui a été fait, durant les procès antérieurs concernant cette affaire, depuis 2017, sera repris devant les Chambres réunies à la Cour Suprême le 16 juillet prochain. Ce qui retient Khalifa Sall à la Maison d’arrêt de correction de Rebeuss, n’est rien d’autre que le mandat de dépôt du 7 mars 2017 parce que toutes les autres décisions rendues sur le plan pénal n’ont pas de force d’application. Ce ne sont pas des condamnations qui retiennent ici Khalifa Sall », a-t-il conclu.
Le procès n’est pas encore fini. Tout ce qui a été fait, durant les procès antérieurs concernant cette affaire, depuis 2017, sera repris devant les Chambres réunies à la Cour Suprême le 16 juillet prochain. Ce qui retient Khalifa Sall à la Maison d’arrêt de correction de Rebeuss, n’est rien d’autre que le mandat de dépôt du 7 mars 2017 parce que toutes les autres décisions rendues sur le plan pénal n’ont pas de force d’application. Ce ne sont pas des condamnations qui retiennent ici Khalifa Sall », a-t-il conclu.