Les relations entre Khalifa Sall et Ousmane Sonko se sont détériorées après la rupture annoncée le 9 août par la coalition d’opposition Yewwi Askan Wi, accusant Khalifa Sall de « trahison ». Cette tension a été évidente lors d’événements récents, notamment un meeting où les partisans de Sonko ont exprimé leur mécontentement envers Sall.
Malgré les tensions passées et l’incertitude quant à l’accueil que Sonko réservera à Sall, ce dernier a désormais l’autorisation nécessaire pour une éventuelle rencontre. Cela soulève des questions sur la possibilité de réconciliation ou du moins de dialogue entre les deux hommes politiques, surtout après le refus présumé de Sonko de rencontrer Sall, comme mentionné par Dias lors d’un séjour à Paris.
Il est également à noter que la participation de Khalifa Sall au dialogue national initié par le président Macky Sall a exacerbé les tensions avec Ousmane Sonko, leader du parti Pastef. Face à ces spéculations et ces tensions politiques, Khalifa Sall a choisi de ne pas commenter directement ses relations avec Sonko, adoptant une position de mépris lorsqu’il est interrogé sur le sujet.
Malgré les tensions passées et l’incertitude quant à l’accueil que Sonko réservera à Sall, ce dernier a désormais l’autorisation nécessaire pour une éventuelle rencontre. Cela soulève des questions sur la possibilité de réconciliation ou du moins de dialogue entre les deux hommes politiques, surtout après le refus présumé de Sonko de rencontrer Sall, comme mentionné par Dias lors d’un séjour à Paris.
Il est également à noter que la participation de Khalifa Sall au dialogue national initié par le président Macky Sall a exacerbé les tensions avec Ousmane Sonko, leader du parti Pastef. Face à ces spéculations et ces tensions politiques, Khalifa Sall a choisi de ne pas commenter directement ses relations avec Sonko, adoptant une position de mépris lorsqu’il est interrogé sur le sujet.