Selon Jean Paul Dias, son fils est sérieusement malade. «Il y a 2000 détenus à Rebeuss, mais il n'y a pas un médecin à demeure. Ce sont des infirmiers qui sont là-bas. Il est tombé malade».
Pour lui, Barthélémy Dias a été contaminé par un codétenu. Parce qu'ils sont dans des chambres avec au moins 15 personnes en plus de la chaleur, la saleté e de la promiscuité.
«Et le médecin-colonel est venu l'examiner, il n'a pas été en mesure de le soigner, il est question que Barthélémy soit vu par un spécialiste, un pneumologue. Il est au risque d'avoir une bronchite ou une tuberculose. Voilà la situation», ajoute-t-il.
«Ce n'est pas mon rôle. Tout ce que je peux dire, c'est qu'il a été obligé de payer les services d'un spécialiste à l'extérieur. Il a vu un pneumologue et il a payé de sa poche. Le service de santé de l'administration pénitentiaire a été obligé de l'autoriser à voir un médecin en ville. Mais il a payé de sa poche», explique Dias Père dans un entretien avec Seneweb.
Pour lui, Barthélémy Dias a été contaminé par un codétenu. Parce qu'ils sont dans des chambres avec au moins 15 personnes en plus de la chaleur, la saleté e de la promiscuité.
«Et le médecin-colonel est venu l'examiner, il n'a pas été en mesure de le soigner, il est question que Barthélémy soit vu par un spécialiste, un pneumologue. Il est au risque d'avoir une bronchite ou une tuberculose. Voilà la situation», ajoute-t-il.
«Ce n'est pas mon rôle. Tout ce que je peux dire, c'est qu'il a été obligé de payer les services d'un spécialiste à l'extérieur. Il a vu un pneumologue et il a payé de sa poche. Le service de santé de l'administration pénitentiaire a été obligé de l'autoriser à voir un médecin en ville. Mais il a payé de sa poche», explique Dias Père dans un entretien avec Seneweb.