Jack Lang ne mâche pas ses mots. Pour dénoncer les propos de Trump sur les "pays de merde", il a qualifié en retour le président américain de "président de merde".
C’est sur Twitter et Facebook que l’ancien ministre de François Mitterrand a utilisé cette expression, ce samedi, dénonçant un "xénophobe et un raciste maladif. «J’ai envie qu’on dise dans le monde entier : "président de merde", comme un cri de ralliement contre ce personnage humiliant et offensant», a insisté le président de l’Institut du monde arabe.
«Ce qui m’a motivé, a expliqué l’ancien ministre âgé de 78 ans, c’est d’entendre ce type (Donald Trump, ndlr) chaque heure, chaque jour dire n’importe quoi, insulter».
L’ancien ministre qui se déclare "solidaire" des pays africains et d’Haïti, "pays que j’aime", a dénoncé le "mépris" du président américain à leur encontre. «Ce mépris est inqualifiable. C’est blessant, offensant (…) Tous les jours, il déverse du mépris sur les uns sur les autres».
Donald Trump a dénoncé vendredi, lors d’une réunion à la Maison Blanche, l’immigration en provenance de "pays de merde". Des propos qu’il a ensuite partiellement contestés mais qui ont suscité une vague d’indignation à travers le monde.
A l’ONU, du Sénégal à Haïti, les ambassadeurs du groupe africain ont exigé vendredi "rétractation" et "excuses" au président américain Donald Trump pour les propos qu’il a tenus. Au total, plus d’une cinquantaine de pays ont réclamé des excuses au président américain et le mouvement d’indignation continue de prendre de l’ampleur.
C’est sur Twitter et Facebook que l’ancien ministre de François Mitterrand a utilisé cette expression, ce samedi, dénonçant un "xénophobe et un raciste maladif. «J’ai envie qu’on dise dans le monde entier : "président de merde", comme un cri de ralliement contre ce personnage humiliant et offensant», a insisté le président de l’Institut du monde arabe.
«Ce qui m’a motivé, a expliqué l’ancien ministre âgé de 78 ans, c’est d’entendre ce type (Donald Trump, ndlr) chaque heure, chaque jour dire n’importe quoi, insulter».
L’ancien ministre qui se déclare "solidaire" des pays africains et d’Haïti, "pays que j’aime", a dénoncé le "mépris" du président américain à leur encontre. «Ce mépris est inqualifiable. C’est blessant, offensant (…) Tous les jours, il déverse du mépris sur les uns sur les autres».
Donald Trump a dénoncé vendredi, lors d’une réunion à la Maison Blanche, l’immigration en provenance de "pays de merde". Des propos qu’il a ensuite partiellement contestés mais qui ont suscité une vague d’indignation à travers le monde.
A l’ONU, du Sénégal à Haïti, les ambassadeurs du groupe africain ont exigé vendredi "rétractation" et "excuses" au président américain Donald Trump pour les propos qu’il a tenus. Au total, plus d’une cinquantaine de pays ont réclamé des excuses au président américain et le mouvement d’indignation continue de prendre de l’ampleur.