Le cas Idrissa Seck n’est plus politique ; il est névrotique. Il n’est plus pathétique ; il est pathologique. Il n’est plus dramatique ; il est traumatique. Son cas ne se comprend pas sous l’angle de la raison, mais de celui de la déraison de la raison. Il ne faut plus accabler Idrissa Seck ! Il faut le sauver, diantre ! De quoi donc ? De la tyrannie de son obsession. De l’enclos de son obnubilation. De son déni de la réalité. De l’hypertrophie de soi.
L’homme, personne ne l’ignore, est obsédé par son ambition de devenir président de la République. Il s’était fixé une ambition comme un horizon politique indépassable : être le quatrième président de la République. Et il y tenait mordicus et ad mortem. Qu’il vente, qu’il neige. En 2012, il a venté, il a neigé. Et il n’a pas venté et il n’a pas neigé, non plus. Idy n’a pas été président de la République. Du parti Rewmi, oui quand même ! Mais un parti, ce n’est tout de même pas une République. Lui, c’est président de la République ou le déluge.
Pareil échec et une déception d’une telle ampleur, ça enrage. Ça rend irascible. Coléreux et caustique. Ça rend furieux et féroce. Irrespectueux et injurieux. Pas besoin de mettre Idrissa Seck sur un divan freudien. Encore moins sous hypnose pour chercher la source de son obsession névrotique. Il faut juste investir l’espace de sa parole. De ses paroles. Et alors sous ses certitudes ossifiées, on découvre la phobie qui l’habite : avoir raté d’être quatrième président de la République du Sénégal au profit de Macky Sall.
Depuis lors, pour dévaliser le philosophe Ludwig Wittgenstein, il ne cesse « de descendre dans le chaos primitif et de s’y sentir chez soi». Ses récentes saillies remettant en cause les dogmes du Coran sur fond de révisionnisme de l’histoire entre la Palestine et Israël, révèlent de ce même chaos assorti cette fois d’une pédanterie qui heurte la conscience des croyants. Donc contre le Président Macky Sall qu’il perçoit comme usurpateur, il est dans «la diabolisation compulsive» et dans une surestimation de lui-même comme emballage électoral. Il s’est mis des barbelés dans l’esprit pour ne rien reconnaître de moindre mérite du Président Macky Sall mais aussi des autres. Voilà pourquoi aussi Idrissa Seck est dans la solitude qui ne veut pas dire être seul, «mais ne plus avoir ses intimes avec soi». Regardez tous ceux qui l’ont quitté !
On comprend donc aisément que le seul brouet où Idrissa Seck s’abîme à s’alimenter pour apparaître politiquement balèze, soit celui de la division, des déchirures sociales et culturelles, des dérives verbales, des stratégies surannées de manipulation de mouvements comme ceux de syndicats et d’étudiants. Tout récemment, la remise au dégoût de la mort de l’étudiant de l’Université Gaston Berger, lui a servi d’exutoire pour sortir les gros mots sur le Président Mackly Sall. Comme une certaine opposition revancharde et putschiste appelant toujours à l’insurrection, à la démission-comme si elle avait renoncé à la compétition présidentielle-, il faut diviser, fracturer, cliver, instrumentaliser, manipuler et pour faire mode aujourd’hui, «fake-news-er».
LE DESERT… DE KALAHARI
Qui n’a pas détecté, sous les enflures des discours et communiqués intéressés de soutien aux étudiants, une sournoise incitation à l’escalade sans répit, à violences verbales et virales ? Il ne leur reste que ce registre stérile, car en matière d’organisation et de mobilisation, ils ont suffisamment fait preuve de leur anémie. Quant aux programmes, projets de société et propositions politiques à même de solidifier les ressorts de notre vivre-ensemble, c’est le désert… de Kalahari.
Aujourd’hui, les Sénégalais doivent s’opposer à la résignation qui donne le permis au déferlement de la fureur, de la furie et de la folie. Il ne faut récuser l’incivilité corrosive qui cautionne la barbarie et la violence, que celle-ci soit réelle ou symbolique.
Il est insoutenable, pour le présent et pour demain, que l’on affiche une indifférence, que l’on soit mou, passif quand la démocratie, par celui qui en est le premier garant et dépositaire par le suffrage populaire, le Président Macky Sall, que le veuillent ou pas certains opposants, soit piétinée, saccagée et incendiée par de folles ambitions. Il faut en finir par ces mauvais exemples, ces postures indignes qui poussent et pourrissent par la tête comme le poisson. On ne peut surtout pas dire que l’on s’en fiche comme de la guigne !
Quand leurs criailleurs auront cessé, quand les piailleurs auront suffisamment et en vain éprouvé leurs cordes vocales, quand les moineaux politiques auront fini de pousser leur chansonnette, les hiboux politiques verront le jour se lever et le vent de la vérité soulever les couettes syndicales et sociales sous lesquelles ils s’étaient réfugiés, alors la clarté règnera, impériale. Elle illuminera les réalisations incontestables du Président Macky Sall que les broutilles et roupies de sansonnet, ne peuvent assombrir ni salir.
L’homme, personne ne l’ignore, est obsédé par son ambition de devenir président de la République. Il s’était fixé une ambition comme un horizon politique indépassable : être le quatrième président de la République. Et il y tenait mordicus et ad mortem. Qu’il vente, qu’il neige. En 2012, il a venté, il a neigé. Et il n’a pas venté et il n’a pas neigé, non plus. Idy n’a pas été président de la République. Du parti Rewmi, oui quand même ! Mais un parti, ce n’est tout de même pas une République. Lui, c’est président de la République ou le déluge.
Pareil échec et une déception d’une telle ampleur, ça enrage. Ça rend irascible. Coléreux et caustique. Ça rend furieux et féroce. Irrespectueux et injurieux. Pas besoin de mettre Idrissa Seck sur un divan freudien. Encore moins sous hypnose pour chercher la source de son obsession névrotique. Il faut juste investir l’espace de sa parole. De ses paroles. Et alors sous ses certitudes ossifiées, on découvre la phobie qui l’habite : avoir raté d’être quatrième président de la République du Sénégal au profit de Macky Sall.
Depuis lors, pour dévaliser le philosophe Ludwig Wittgenstein, il ne cesse « de descendre dans le chaos primitif et de s’y sentir chez soi». Ses récentes saillies remettant en cause les dogmes du Coran sur fond de révisionnisme de l’histoire entre la Palestine et Israël, révèlent de ce même chaos assorti cette fois d’une pédanterie qui heurte la conscience des croyants. Donc contre le Président Macky Sall qu’il perçoit comme usurpateur, il est dans «la diabolisation compulsive» et dans une surestimation de lui-même comme emballage électoral. Il s’est mis des barbelés dans l’esprit pour ne rien reconnaître de moindre mérite du Président Macky Sall mais aussi des autres. Voilà pourquoi aussi Idrissa Seck est dans la solitude qui ne veut pas dire être seul, «mais ne plus avoir ses intimes avec soi». Regardez tous ceux qui l’ont quitté !
On comprend donc aisément que le seul brouet où Idrissa Seck s’abîme à s’alimenter pour apparaître politiquement balèze, soit celui de la division, des déchirures sociales et culturelles, des dérives verbales, des stratégies surannées de manipulation de mouvements comme ceux de syndicats et d’étudiants. Tout récemment, la remise au dégoût de la mort de l’étudiant de l’Université Gaston Berger, lui a servi d’exutoire pour sortir les gros mots sur le Président Mackly Sall. Comme une certaine opposition revancharde et putschiste appelant toujours à l’insurrection, à la démission-comme si elle avait renoncé à la compétition présidentielle-, il faut diviser, fracturer, cliver, instrumentaliser, manipuler et pour faire mode aujourd’hui, «fake-news-er».
LE DESERT… DE KALAHARI
Qui n’a pas détecté, sous les enflures des discours et communiqués intéressés de soutien aux étudiants, une sournoise incitation à l’escalade sans répit, à violences verbales et virales ? Il ne leur reste que ce registre stérile, car en matière d’organisation et de mobilisation, ils ont suffisamment fait preuve de leur anémie. Quant aux programmes, projets de société et propositions politiques à même de solidifier les ressorts de notre vivre-ensemble, c’est le désert… de Kalahari.
Aujourd’hui, les Sénégalais doivent s’opposer à la résignation qui donne le permis au déferlement de la fureur, de la furie et de la folie. Il ne faut récuser l’incivilité corrosive qui cautionne la barbarie et la violence, que celle-ci soit réelle ou symbolique.
Il est insoutenable, pour le présent et pour demain, que l’on affiche une indifférence, que l’on soit mou, passif quand la démocratie, par celui qui en est le premier garant et dépositaire par le suffrage populaire, le Président Macky Sall, que le veuillent ou pas certains opposants, soit piétinée, saccagée et incendiée par de folles ambitions. Il faut en finir par ces mauvais exemples, ces postures indignes qui poussent et pourrissent par la tête comme le poisson. On ne peut surtout pas dire que l’on s’en fiche comme de la guigne !
Quand leurs criailleurs auront cessé, quand les piailleurs auront suffisamment et en vain éprouvé leurs cordes vocales, quand les moineaux politiques auront fini de pousser leur chansonnette, les hiboux politiques verront le jour se lever et le vent de la vérité soulever les couettes syndicales et sociales sous lesquelles ils s’étaient réfugiés, alors la clarté règnera, impériale. Elle illuminera les réalisations incontestables du Président Macky Sall que les broutilles et roupies de sansonnet, ne peuvent assombrir ni salir.