Le président du Conseil Départemental de Thiès regrette la dislocation de Manko Taxawou Sénégal et souligne que l’importance était de former une coalition forte de l’opposition mais pas de disputer les têtes de listes.
Selon l’ancien premier ministre, le Sénégal s’achemine vers des élections capitales et il faudrait pour l’opposition d’avoir la majorité à l’Assemblée Nationale afin de pouvoir bien contrôler les actions du gouvernement.
« Il urge de changer la donne politique et d’avoir la majorité à l’hémicycle. Ce sont les députés qui votent la loi de finance rectificative et contrôlent l’action du gouvernement. Ces élections législatives sont d’une grande importance car le Sénégal va changer en allant de pays pauvre à un pays développé, il faut revoir comment contrôler cela », dit-il.
(adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); En ce qui concerne la prolifération des listes, l’ancien maire de Thiès pense que les formations politiques qui n’ont jamais collecté de suffrages à un certain niveau, ne méritent pas de rester sur la scène.
« Chacun est libre de vouloir participer mais ceux qui étaient candidats aux dernières élections législatives, et qui n’ont pas pu rien à avoir, doivent se retirer », déclare-t-il.
Selon l’ancien premier ministre, le Sénégal s’achemine vers des élections capitales et il faudrait pour l’opposition d’avoir la majorité à l’Assemblée Nationale afin de pouvoir bien contrôler les actions du gouvernement.
« Il urge de changer la donne politique et d’avoir la majorité à l’hémicycle. Ce sont les députés qui votent la loi de finance rectificative et contrôlent l’action du gouvernement. Ces élections législatives sont d’une grande importance car le Sénégal va changer en allant de pays pauvre à un pays développé, il faut revoir comment contrôler cela », dit-il.
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« Chacun est libre de vouloir participer mais ceux qui étaient candidats aux dernières élections législatives, et qui n’ont pas pu rien à avoir, doivent se retirer », déclare-t-il.