Suite aux accusations d’Ousmane Faye sur un supposé «partage du gâteau» entre l’ancien régime d’Abdoulaye Wade et ses alliés de la Cap 21, Iba Der Thiam qui était le coordonnateur de la coalition des partis alliés de Me Wade a tenu à faire le point des précisions sur la question.
«C’est absolument faux. Jamais la Cap 21 n’a reçu 10 millions de francs Cfa pour le fonctionnement du siège. Jamais ! Et cela, comme je l’ai dit par le passé, peut se vérifier. Parce que toutes les sommes qui étaient remises à la Cap 21 passaient entre les mains du colonel Cissokho, aide de camp du Président Wade. Et elles faisaient l’objet d’un document écrit par la personne qui recevait l’argent, c’était le trésorier (de la Cap 21), qui était Fodé Diané», ajoute-t-il dans les colonnes du journal Vox Populi.
Toutefois pour Iba Der Thiam, cette polémique, partie de l’affaire des 4 millions affectés à Mamadou Ndoye par Macky Sall, pose la question du financement des partis politiques. «Il faut réglementer l’aide aux partis politiques, suggère-t-il. Personnellement, je pense qu’il faut une loi sur le financement des partis. D’ailleurs quand j’étais à l’Assemblée nationale, j’ai eu à prendre une initiative en ce sens. Mais le bureau l’a bloquée.»
«C’est absolument faux. Jamais la Cap 21 n’a reçu 10 millions de francs Cfa pour le fonctionnement du siège. Jamais ! Et cela, comme je l’ai dit par le passé, peut se vérifier. Parce que toutes les sommes qui étaient remises à la Cap 21 passaient entre les mains du colonel Cissokho, aide de camp du Président Wade. Et elles faisaient l’objet d’un document écrit par la personne qui recevait l’argent, c’était le trésorier (de la Cap 21), qui était Fodé Diané», ajoute-t-il dans les colonnes du journal Vox Populi.
Toutefois pour Iba Der Thiam, cette polémique, partie de l’affaire des 4 millions affectés à Mamadou Ndoye par Macky Sall, pose la question du financement des partis politiques. «Il faut réglementer l’aide aux partis politiques, suggère-t-il. Personnellement, je pense qu’il faut une loi sur le financement des partis. D’ailleurs quand j’étais à l’Assemblée nationale, j’ai eu à prendre une initiative en ce sens. Mais le bureau l’a bloquée.»