
L’opération s’est faite dans l’opacité totale et un mystère total entoure le montant du chèque remis à Total par Sahara Group. Par ailleurs, un autre baron du pétrole sénégalais fait pression sur Khadim Bâ pour qu’il lui vende 14% sur le futur capital de la SAR.
Ce dernier, impliqué dans tous les scandales pétroliers qui ont eu lieu au Sénégal ces dernières années, est même allé jusqu’à proposer une surenchère à Saudi Bin Laden Group après le refus de Locafrique.
Source Libération