Yewwi Askan Wi (YAW) rassure le cadre unitaire de l’Islam que toute violence électorale ne viendra pas d’eux. Les deux entités se sont rencontrées hier pour près de deux heures d’horloge à huit clos.
La conférence des leaders de Yaw était représentée par Déthié Fall et Habib Sy tandis que le Cudis, était représenté par le guide religieux Cheikh Ahmed Tidiane Sy, président du cadre unitaire qui a pris la parole pour faire le résumé de la rencontre.
«Après des séries de rencontre avec la classe politique, nous avons rencontré les leaders de Yaw qui ont le sens de la responsabilité. Nous les avons consultés pour recueillir leur position sur la situation politique. Notre démarche est inclusive et participative. Ils nous ont donné des réponses rassurantes. Nous avons recueilli leur avis et position pour la mise en œuvre d’un climat social rassurant. Nous repartons de cette rencontre, satisfaits. Nous avons eu un discours responsable des leaders. Ils nous ont assuré que tout ce qui est violence ne viendra pas d’eux car ils n’ont pas les moyens de mettre ce pays sous le chaos. Nous irons voir les autres parties pour l’instauration de la paix et faire revivre un Sénégal de concorde», a souligné Mr Sy face à la presse.
Après la rencontre avec les initiateurs du cadre unitaire de l’Islam au Sénégal, Habib Sy, parlant au nom de Khalifa Sall, président de la conférence des leaders de Yewwi Askan Wi (YAW) a demandé aux religieux de rassurer les khalifes généraux sur leur foi de maintenir la paix. Car n’ayant pas la culture de la violence.
"'Tout le monde sait que les leaders de la coalition sont des hommes de paix. Personne ne peut brûler ce pays. On n’en a pas les moyens. Nous n’avons que nos mains. C’est impossible que la violence provienne de l’opposition qui n’a pas les policiers, les gendarmes même les Asp. L’injustice est la première source de l’effondrement social. C’est ce que nous subissons. Il y a un engagement culturel qui est plus important qu’une charte», fait-il savoir aux émissaires des guides religieux.
«Notre sacerdoce et notre devise, c’est la paix. Malheureusement, on nous attaque de partout. Le président Macky Sall est le seul détenteur de la violence avec son arsenal juridique et sécuritaire. Nous avons respecté les recommandations des guides religieux qui ont appelé à la paix. Nous respectons leur démarche. Nous leur avons dit que nous n’avons pas confiance en Macky Sall parce qu’il a tout violé. C’est pourquoi nous avons décidé de ne pas signer la charte. Car des deux dialogues appelés, il n’a rien respecté. Il a tout jeté à la poubelle. C’est lui l’agresseur» ajoute Habib Sy.
« C’est une honte pour un pays d’humilier des responsables politiques qui peuvent diriger le pays un jour. Sans compter les autres actes inélégants qu’il a commis contre l’opposition », peste Habib Sy et pire, pour prouver que Macky Sall n’est pas un homme de paix, «regardez ce qui s’est passé lors du dépôt des listes avec le rejet des listes par les préfets qui seront déboutés par les cours d’appel. Malheureusement, il a instruit son ministre de l’intérieur de demander aux préfets d’interjeter appel à la Cour d’appel. C’est pourquoi on résiste chaque fois que nous sommes attaqués. Et tout le monde sait qu’aucun État ne résiste à un soulèvement populaire. Car au mois de mars, si on n’avait pas arrêté les choses, il n’en serait pas là», dixit l’ancien ministre. Il faut souligner que le leader de Pastef Ousmane Sonko n’a pas pris part à la rencontre.
La conférence des leaders de Yaw était représentée par Déthié Fall et Habib Sy tandis que le Cudis, était représenté par le guide religieux Cheikh Ahmed Tidiane Sy, président du cadre unitaire qui a pris la parole pour faire le résumé de la rencontre.
«Après des séries de rencontre avec la classe politique, nous avons rencontré les leaders de Yaw qui ont le sens de la responsabilité. Nous les avons consultés pour recueillir leur position sur la situation politique. Notre démarche est inclusive et participative. Ils nous ont donné des réponses rassurantes. Nous avons recueilli leur avis et position pour la mise en œuvre d’un climat social rassurant. Nous repartons de cette rencontre, satisfaits. Nous avons eu un discours responsable des leaders. Ils nous ont assuré que tout ce qui est violence ne viendra pas d’eux car ils n’ont pas les moyens de mettre ce pays sous le chaos. Nous irons voir les autres parties pour l’instauration de la paix et faire revivre un Sénégal de concorde», a souligné Mr Sy face à la presse.
Après la rencontre avec les initiateurs du cadre unitaire de l’Islam au Sénégal, Habib Sy, parlant au nom de Khalifa Sall, président de la conférence des leaders de Yewwi Askan Wi (YAW) a demandé aux religieux de rassurer les khalifes généraux sur leur foi de maintenir la paix. Car n’ayant pas la culture de la violence.
"'Tout le monde sait que les leaders de la coalition sont des hommes de paix. Personne ne peut brûler ce pays. On n’en a pas les moyens. Nous n’avons que nos mains. C’est impossible que la violence provienne de l’opposition qui n’a pas les policiers, les gendarmes même les Asp. L’injustice est la première source de l’effondrement social. C’est ce que nous subissons. Il y a un engagement culturel qui est plus important qu’une charte», fait-il savoir aux émissaires des guides religieux.
«Notre sacerdoce et notre devise, c’est la paix. Malheureusement, on nous attaque de partout. Le président Macky Sall est le seul détenteur de la violence avec son arsenal juridique et sécuritaire. Nous avons respecté les recommandations des guides religieux qui ont appelé à la paix. Nous respectons leur démarche. Nous leur avons dit que nous n’avons pas confiance en Macky Sall parce qu’il a tout violé. C’est pourquoi nous avons décidé de ne pas signer la charte. Car des deux dialogues appelés, il n’a rien respecté. Il a tout jeté à la poubelle. C’est lui l’agresseur» ajoute Habib Sy.
« C’est une honte pour un pays d’humilier des responsables politiques qui peuvent diriger le pays un jour. Sans compter les autres actes inélégants qu’il a commis contre l’opposition », peste Habib Sy et pire, pour prouver que Macky Sall n’est pas un homme de paix, «regardez ce qui s’est passé lors du dépôt des listes avec le rejet des listes par les préfets qui seront déboutés par les cours d’appel. Malheureusement, il a instruit son ministre de l’intérieur de demander aux préfets d’interjeter appel à la Cour d’appel. C’est pourquoi on résiste chaque fois que nous sommes attaqués. Et tout le monde sait qu’aucun État ne résiste à un soulèvement populaire. Car au mois de mars, si on n’avait pas arrêté les choses, il n’en serait pas là», dixit l’ancien ministre. Il faut souligner que le leader de Pastef Ousmane Sonko n’a pas pris part à la rencontre.