Leur réaction était attendue suite aux affrontements qui ont opposé proSonko et pro-Khalifa, samedi, lors de la manifestation du Fdd, au terrain des Hlm Grand Yoff. La coalition Diomaye Président estime, dans un communiqué, que cet évènement atteste des «manœuvres» de Macky Sall qui risquent de «plonger le Sénégal dans le chaos».
Elle déplore cet «incident» qui profite à Macky Sall. En outre, elle fustige les attaques de certains leadeurs de l’opposition contre l’ex-Pastef dans l’affaire Maïmouna Ndour Faye. «Nous avons besoin de sécurité collective dans les différentes plateformes», renseigne le communiqué.
La coalition Diomaye Président milite pour la mise en place d’une charte qui engage toutes les plateformes afin de respecter «un ensemble d’obligations en vue du maintien de la cohésion de groupe». L’objectif recherché est de garantir mutuellement la sécurité sociale et de «renforcer la cohésion et la solidarité» dans le «contexte actuel où les piliers de notre nation sont menacés de fracture», soutient la coalition Diomaye Président.
Elle appelle ainsi à l’unité et la mobilisation des «forces de résistance» pour exiger la tenue de l’élection avant le 2 avril 2024.
Les leadeurs de la coalition invitent le Conseil constitutionnel à «assumer ses responsabilités pour le respect de l’ordre constitutionnel».
Elle déplore cet «incident» qui profite à Macky Sall. En outre, elle fustige les attaques de certains leadeurs de l’opposition contre l’ex-Pastef dans l’affaire Maïmouna Ndour Faye. «Nous avons besoin de sécurité collective dans les différentes plateformes», renseigne le communiqué.
La coalition Diomaye Président milite pour la mise en place d’une charte qui engage toutes les plateformes afin de respecter «un ensemble d’obligations en vue du maintien de la cohésion de groupe». L’objectif recherché est de garantir mutuellement la sécurité sociale et de «renforcer la cohésion et la solidarité» dans le «contexte actuel où les piliers de notre nation sont menacés de fracture», soutient la coalition Diomaye Président.
Elle appelle ainsi à l’unité et la mobilisation des «forces de résistance» pour exiger la tenue de l’élection avant le 2 avril 2024.
Les leadeurs de la coalition invitent le Conseil constitutionnel à «assumer ses responsabilités pour le respect de l’ordre constitutionnel».