(adsbygoogle = window.adsbygoogle || []).push({}); Il y a une fuite nationale lors de l’épreuve anticipée du baccalauréat. C’est la conviction de l’Association des professeurs de philosophie qui assistait ce matin à la réunion d’orientation qui s’est déroulé à l’Office du Bac.
Documents à l’appui, Mamadou Sanoussy Ba, le président de cette association martèle : «Nous sommes venus conscientiser nos collègues face à une situation désolante qui est la fuite. Parce que effectivement dans le sujet n°1 de la série L : «La connaissance conduit-elle nécessairement à la liberté ?», il y a eu une fuite nationale».
Etayant ses accusations, M. Ba fait savoir qu’ils ont eu, dans presque toutes les régions du Sénégal, «des preuves écrites par SMS (et le SMS a une valeur juridique) qu’effectivement, des candidats ont eu, à se regrouper la nuit précédant la session, pour traiter le sujet».
Selon lui, l’épreuve incriminée ne doit pas être corrigée car : «si les gens s’engagent à la corriger, on jette le discrédit aussi bien sur les syndicats, les enseignants que sur l’Etat».
Documents à l’appui, Mamadou Sanoussy Ba, le président de cette association martèle : «Nous sommes venus conscientiser nos collègues face à une situation désolante qui est la fuite. Parce que effectivement dans le sujet n°1 de la série L : «La connaissance conduit-elle nécessairement à la liberté ?», il y a eu une fuite nationale».
Etayant ses accusations, M. Ba fait savoir qu’ils ont eu, dans presque toutes les régions du Sénégal, «des preuves écrites par SMS (et le SMS a une valeur juridique) qu’effectivement, des candidats ont eu, à se regrouper la nuit précédant la session, pour traiter le sujet».
Selon lui, l’épreuve incriminée ne doit pas être corrigée car : «si les gens s’engagent à la corriger, on jette le discrédit aussi bien sur les syndicats, les enseignants que sur l’Etat».